Il n'y a pas de petits profit mais là l'interaction avec les SMS a atteint un stade que je ne suivrai pas : proposer des micro crédits.
Le phénomène a débarqué en Suède et propose des micros crédits de 300€. Si on propose cela à un adolescent ou un étudiant (aux revenus ultra modestes), on revient à introduire le Diable chez lui.
En effet, pour notre belle jeunesse emprunter est un acte banal. Toutefois il ne faut pas oublier le pendant de l'obligation : rembourser. L'article de Boursorama est très intéressant sur ce point.
Pour ma part, le SMS conserve un bel avenir car je pense qu'il y a encore plein de choses à exploiter autour mais pas ce genre d'interactions qui conduiront à tuer la poule aux œufs d'or à savoir le consommateur.
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