Les lectures intéressantes sur Internet existent. Je vous l'assure.
Lorsqu'en 1995, je découvris Internet, le seul navigateur disponible était Mosaic. Ce browser reste la base de Internet Explorer. Les moteurs de recherche existaient et les vitesses de connexion paraissaient phénoménales. C'est sûr, avec un modem allant à 28 800 bps, on sortait de l'ère du Minitel pour arriver sur du texte avec des images.
Ma première recherche concernait "Toutatis". Ce fut également mon premier crash test car les réponses de l'époque me renvoyait sur le Dieu des gaulois, et enfin sur l'astéroïde en question. Par la suite, j'ai voulu mieux comprendre le langage permettant d'afficher les pages. Le HTML le plus basique qu'il soit était entré dans ma vie.
Par la suite, et étant juriste de formation, quoi de plus naturel d'aller sur les newsgroup ? A l'époque ce n'était pas des lieux où se terrent de nombreux pirates. Ce fut également une des première communauté de juristes que je joignis. Au final, nous avions à l'époque décrit les mécanismes de la révocabilité des paiements par carte bancaire qui furent intégrés sous le gouvernement Jospin dans la LEN.
Quand en fin 1999, début 2000, l'Internet mobile était censé nous apporter, dans nos poches tous les sites sur lesquels nous surfions à l'époque. Sans compter la promesse de m-commerce qui était sous-jacente. Par contre aucune "norme" en terme d'ergonomie n'existait et personne ne savait réellement quoi porter sur un téléphone.
C'est aussi à cette époque que le film Matrix a fait son apparition. Le réseau était un cyber espace où tout devenait possible. Cependant en reprenant le livre de William Gibson The neuromancer (Néromancien en français), nous ne sommes plus loin de cet univers ultra connecté. Certains d'entre vous se rappelleront également du film Tron. Ainsi les rêves les plus fous devenaient possibles en 2000, jusqu'à ce constat d'échec dit du WAP mais plutôt d'un constat : l'Internet mobile ne pouvait ressembler au Minitel.
En parallèle à cela, les usages commencèrent à changer. Les plus anciens continuent à explorer la Toile de manière fine en comprenant la structure des réseaux, des liens et de l'infrastructure qui se cache derrière. Les plus nouveaux arrivant naviguent dans ces univers d'une manière anarchique reposant sur un principe : je surfe donc je suis.
Lorsqu'en 1995, je découvris Internet, le seul navigateur disponible était Mosaic. Ce browser reste la base de Internet Explorer. Les moteurs de recherche existaient et les vitesses de connexion paraissaient phénoménales. C'est sûr, avec un modem allant à 28 800 bps, on sortait de l'ère du Minitel pour arriver sur du texte avec des images.
Ma première recherche concernait "Toutatis". Ce fut également mon premier crash test car les réponses de l'époque me renvoyait sur le Dieu des gaulois, et enfin sur l'astéroïde en question. Par la suite, j'ai voulu mieux comprendre le langage permettant d'afficher les pages. Le HTML le plus basique qu'il soit était entré dans ma vie.
Par la suite, et étant juriste de formation, quoi de plus naturel d'aller sur les newsgroup ? A l'époque ce n'était pas des lieux où se terrent de nombreux pirates. Ce fut également une des première communauté de juristes que je joignis. Au final, nous avions à l'époque décrit les mécanismes de la révocabilité des paiements par carte bancaire qui furent intégrés sous le gouvernement Jospin dans la LEN.
Quand en fin 1999, début 2000, l'Internet mobile était censé nous apporter, dans nos poches tous les sites sur lesquels nous surfions à l'époque. Sans compter la promesse de m-commerce qui était sous-jacente. Par contre aucune "norme" en terme d'ergonomie n'existait et personne ne savait réellement quoi porter sur un téléphone.
C'est aussi à cette époque que le film Matrix a fait son apparition. Le réseau était un cyber espace où tout devenait possible. Cependant en reprenant le livre de William Gibson The neuromancer (Néromancien en français), nous ne sommes plus loin de cet univers ultra connecté. Certains d'entre vous se rappelleront également du film Tron. Ainsi les rêves les plus fous devenaient possibles en 2000, jusqu'à ce constat d'échec dit du WAP mais plutôt d'un constat : l'Internet mobile ne pouvait ressembler au Minitel.
En parallèle à cela, les usages commencèrent à changer. Les plus anciens continuent à explorer la Toile de manière fine en comprenant la structure des réseaux, des liens et de l'infrastructure qui se cache derrière. Les plus nouveaux arrivant naviguent dans ces univers d'une manière anarchique reposant sur un principe : je surfe donc je suis.
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