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dimanche 16 octobre 2016

Le futur des applications mobiles ? Du service d'abord

(Article invité, rédigé par @mobiwizz)
App Icon Grid


Ayant frayé dans le monde des télécommunications puis des médias, j'ai pu observer l'essor des applications mobiles, et plus récemment d'autres canaux que sont les chatbots, la réalité virtuelle, les objets connectés, les robots, etc.
Une conviction forte s'en détache : les applications mobiles qui cartonnent sont d'abord des services. Et demain (voire même aujourd'hui pour certains) ces services peuvent vivre en dehors des applications.

L'erreur que beaucoup continuent à faire, tout secteur confondu : utiliser l'appli comme une copie conforme d'autres supports pré-existants (site web,...).  
Alors qu'aujourd'hui, un site responsive peut répondre à la promesse de l'accessibilité de contenu/fonctionnalités sur les terminaux mobiles, la valeur ajoutée d'une application réside dans ce qui va créer de l'adhésion (stickyness) et de la fidélisation.

Une marque peut paraître forte, si elle ne rend pas service et si ses points de contacts ne sont pas de qualité, le zapping peut être rapide et fatal.
C'est d'autant plus vrai pour les applications, je vous laisse lire les commentaires sur les stores pour en juger.

Une application mobile est un concentré de fonctionnalités propres, souvent fermée ou peu communicante.
Le changement de paradigme vient du fait de penser l'application mobile comme un système ouvert, communicant avec d'autres éléments extérieurs tout en restant simple et efficace sur ses fondamentaux.

Un exemple bien connu de tous : l'application Google Maps.
Elle propose quelques fonctionnalités (cartographie, localisation et géolocalisation, itinéraire) qui sont intégrables dans n'importe quelle application tierce via une librairie.
L'usage de base est dans l'application hôte et est contextualisé, tandis que l'usage augmenté se fera dans l'application Google Maps, plus riche fonctionnellement (turn-by-turn, cartographie augmentée, points d'intérêts, etc).
Toutes les requêtes faites par l'application hôte sur la partie Maps sont comptabilisées par Google.

Il n'y a pas de perte de valeur pour Google Maps. En effet, ils s'appuyent sur un business model basé sur la collecte de données et sur la vente de son service en freemium (gratuit jusqu'à un certain nombre de requêtes). Cela favorise par ailleurs la notoriété de son service et l'attraction vers son application en propre, sans que cela ne soit une obligation.

Pour citer quelques exemples emblématiques, Facebook, Twitter, Uber, Deezer, Yahoo, LinkedIn ont développé des approches similaires et leurs fondamentaux continuent à être assurées par leurs applications.
Dans cette perspective, l'application est un canal, lorsque le service n'est pas cantonné à une forme

En cela, l'agilité et la notion particulière de récit utilisateur permettent de mieux mettre en lumière le service que va rendre telle ou telle fonctionnalité, et de simplifier le parcours en fonction du canal.

L'étape ultime est donc définir l'opportunité que peut apporter le service au sein d'une offre dédiée à chaque support, dans ses propres canaux et dans des écosystèmes tiers. Attention : tous les services ne s'y prêtent pas forcément !

Et vous, si vous deviez reprendre une app mobile, quels services en feriez-vous ?

mercredi 16 juillet 2014

Internet Mobile 2.0 disponible sur Windows Mobile

Depuis un mois, j'ai lancé sur le Windows Store la version Windows mobile de ce blog.

Grâce l'App Studio, j'ai pu créer facilement et sans la moindre ligne de code mon application et la publier. J'ai quand même dû financer un compte développeur pour pouvoir la mettre en ligne.

Une telle facilité pour créer son application est déconcertante. Par contre il faut aller sur un autre site pour suivre l'évolution de son application. Dommage que ce ne soit pas rattaché à mon compte Microsoft.

C'est intéressant par contre de pouvoir télécharger le rapport Excel qui est généré par le site permettant la publication. Les statistiques sont très détaillées. On peut y voir aussi les erreurs remontées, les achats in App, les commentaires... bref tout ce dont tout ce dont on a besoin pour suivre son application.


Je ne cours pas après un nombre de téléchargements records, ni de lecteurs, je voulais juste connaître la profondeur des outils mis à disposition pour publier une application et ce que l'on pouvait en tirer. Je suis satisfait. Mon seul regret : ne pas avoir pu programmer un push de notification quand un nouvel article est disponible.

dimanche 8 juin 2014

#RolandGarros 2014 : le bilan côté applications mobiles !

 Avant-propos : j'ai travaillé pour Orange sur le pilotage projets et la livraison des applications mobiles pendant plusieurs années. L'un de mes projets phares a été Roland-Garros sur la période 2007-2009.

A l'heure où cet article est publié, le tournoi touche à sa fin. Le vainqueur de la finale du Simple Hommes n'est pas encore connu mais j'ai de gros espoirs pour Rafael Nadal.



 Cette année a été un peu spéciale côté applications mobiles. Jusqu'ici Orange proposait depuis 2006 des applications mobiles en parallèle de l'exploitation de ses droits et contenus sur le portail Orange mobile.

Cette première version a écrit la base éditoriale et technique des versions qui ont suivi :
  • suivi des matchs en direct avec accès au live TV de France Télévisions
  • programme et résultats
  • vidéos résumés des matchs quotidiens


Capture d'écran du prototype applicatif Roland-Garros pour la plateforme Nokia Series S60 (2006).

Capture d'écran de la version pour la plateforme Nokia Series S60 (2008).

L'apothéose a été l'année 2009, et la sortie de la 1ère application sur la plateforme iOS, pour fêter son millionième client iPhone. Elle était l'application officielle d'Orange et de la Fédération Française de Tennis (FFT).


Cette année donc, tout change puisqu'Orange n'exploite plus de contenus sports en propre. Il y a eu donc 2 propositions d'applications officielles pour suivre le tournoi 2014 : 
  • l'application Roland-Garros délivrée par la FFT et réalisée par Atos
  • l'application France TV Sport avec un espace dédié à Roland-Garros


 Je n'ai malheureusement pas été séduite ni par l'une, ni par l'autre.
Tout d'abord la version de France TV Sport.

En effet, hormis la bonne mise en avant de l'évènement dans l'application, les fonctionnalités proposées et l'éditorial ont été décévants, phagocités par la surexposition de la publicité en interstitiel et en pré-roll vidéo. Des alertes peu efficaces et trop nombreuses, un flux live vidéo en décalage par rapport à la retransmission télé, ont fini par me convaincre de désinstaller l'application. Seul point bonus que je lui accorderais : la possibilité de revoir les matches passés en version intégrale et avec une très bonne qualité d'image.

Quant à la version proposée par la FFT, elle a été axée sur la reprise du contenu du site web de Roland-Garros : suivi "graphique" des résultats, vidéos éditoriales axées sur l'à côté des courts et avec une qualité technique faible. Mais aussi une vision "couteau suisse" - univers Roland-Garros que je reprochais déjà aux versions 2012 et 2013 de l'app faite par Orange : l'accès à la boutique, à la radio. Un manque crucial sur une vision mobile de l'éditorialisation : aucune alerte reçue sur les 2 semaines du tournoi !

Au final, je me suis tenue au courant de l'essentiel par le biais des alertes des applications de news, et ça me suffisait largement.

Et vous, comment avez-vous suivi le tournoi cette année ?

(Retrouvez-moi sur Twitter : @mobiwizz)

mercredi 9 avril 2014

La fragmentation des mobiles où l'horreur pour un chef de projet

Lorsque l'on pense à faire un site sur mobile, on ne commence pas par se poser la question autour du design. Or, ce devrait être une source d'inquiétude majeur pour tout chef de projet qui se lance sur le mobile.

Déjà à l'époque du WAP (oui ça date du début des années 2000), les tailles d'écrans n'étaient pas similaires. Avec les logos, puis les vidéos la fragmentation a augmenté. Mais à l'époque, on était plus sur une fragmentation simple et réduite plutôt à des capacités techniques face au téléchargement. Les tailles étaient à peu près standard.

Avec Android, c'est devenu plus épique. Tout d'abord avec de nombreux modèles. Et là, le développeur va devoir gérer un par hétérogène tant en modèles que d'OS. Chaque constructeur incluant en plus une surcouche logicielle et il devra faire face à des cas d'erreurs non prévus dans la programmation standard pour Android.
Ajoutez à cela des petites subtilités de l'OS avec récemment une exécution en ART et non plus en JIT. De quoi s'arracher les cheveux en début de projet. Lorsque j'évoque cela en réunion, tout le monde sourit en mettant sur la table le dernier modèle sorti. C'est sur... Tout le monde a le dernier cri de la technologie...


Ensuite, il faut penser à la répartition par marque. Pourquoi, me diriez vous ? Pour commencer à établir une idée du parc de terminaux que vous aurez à gérer tant pour les tests que les développements. C'est sur qu'en méthode AGILE, on ne prévoira aucun cas d'utilisation du type "En tant qu'utilisateur d'un Sony Xperia U..." Et bien détrompez vous ! Il faudra prévoir les subtilités des devices. J'ai du faire face à cette situation car une ligne de l'android manifest fait qu'une application donnée s'installera ou non dans ce type de mobile. Surtout si votre application est sécurisée. Ou le cas étrange de la marque Samsung avec la dernière mouture de Samsung Knox. C'est plutôt Fort Knox ! Et là il faut avoir des idées !


Enfin et pour le fun, le chef de projet va aimer ses designers... ou se faire haïr. En effet, chaque constructeur sortant un mobile ou une tablette veut se différencier de son concurrent. Et Google n'a pas franchement aidé sur ce point la communauté des gentils développeurs d'applications. Vous allez devoir faire face à une joyeuse question : dois-je prévoir tous les types d'écrans du monde ? L'image à gauche vous montre à quoi vous devrez vous confronter. Et dites vous bien que le designer va devoir travailler chaque image pour chaque résolution et non faire un bon recadrage de l'image principale pour aller plus vite. S'il le fait : virez le ! J'ai assez embêté des camarades de jeu pour un pixel (et j'en ai hérité un surnom : M. Pixel) qui ont du faire revenir un graphiste pour corriger une image.

Ceci est vrai pour Android. Quid des mobiles Apple ? C'est aussi vrai mais c'est plus simple. Entre les iPad et les iPhone, les tailles sont moins contraignantes mais tout aussi exigeantes. Sans compter le "retina display". Ah... le crénelage des icônes non étudiés pour cet affichage. Un régal.

Et pour finir, le fin du fin, les tailles des icônes pour les applications. Les stores vous aiment et vous le rendent bien.

J'aurais pu intituler cet article : l'horreur de la publication d'une application. Mais je pense que cet article fera réfléchir de nombreuses personnes avant de se lancer dans le monde de la mobilité et n'en ayant aucune expérience. Le "c'est simple" à faire devient vite un capharnaüm sans nom si on ne s'y prépare pas.

dimanche 23 mars 2014

Office Lens, où comment se souvenir des réunions

Vous le savez, j'ai basculé sous Windows Phone et les applications utiles sont légion.

Aujourd'hui c'est Office Lens qui m'a surpris.

A quoi ça sert ? A prendre en photo quelque soit l'angle de vision d'un schéma, d'une carte de visite... et de les enregistrer dans OneNote.

Avantage : fini le décryptage de la photo ! vous retrouvez le schéma à plat prêt à être reformaté dans une présentation. Un gain de temps inestimable lorsque l'on est en réunion et que l'on veut remettre au propre ses notes.

L'intégration avec OneNote génère un enregistrement direct vers cette application. Si vous n'avez pas de WindowsLiveID, passez votre chemin.

Venant de découvrir la richesse de la Microsoft Surface RT, je peux vous assurez qu'avec ce programme en plus, vous allez sortir de réunion qu'avec un complément de notes et des schémas stockés en ligne rapidement. Et personne ne vous dira que ce n'était pas ce qui avait été décidé ou vu ;)

Microsoft revient lentement dans la course de la bataille des OS que j'avais annoncée en 2012 et deviendra selon moi plus dans la course du marché des professionnels que du grand public

mercredi 8 août 2012

Twitch TV, suivez vos games

Fan de jeux vidéo ? Vous aimez suivre des parties streamées de jeux vidéo (SC2, Street Fighter, BF3...) ? Cette application disponible sous Android et sous iPhone, vous permettra de suivre les stream avec un décalage d'environs 30 secondes (oui je l'ai testée) entre votre ordinateur et votre mobile.

La qualité des flux streamés va varier mais en 720P je peux vous assurer que le résultat pique aux yeux. C'est fluide, c'est beau et votre mobile devient un réceptacle de flux vidéo de qualité.

Je n'ai qu'une chose à dire : téléchargez cette application.

jeudi 19 juillet 2012

Une société près de chez soi

Je me demandais s'il existait une société réalisant des applications mobiles proche de chez moi. Et bien oui ! On pourrait dire : mais il y en a dans chaque ville. Seulement, dans mon domaine, c'est plutôt rare. Dans la mobilité je dirai qu'on se compte sur les doigts de la main, notamment si on veut réaliser de belles choses.

J'ai donc découvert grâce à Facebook : Forecomm. Intéressante société crée en 2007, spécialisée dans les applications mobiles. L'intérêt de ce post est donc double : vous inviter à découvrir une nouvelle société et qu'elle est proche de Paris (moins de 30 minutes de RER).

Aussi, si vous cherchez comment faire votre application mobile, voici une adresse.

jeudi 28 juin 2012

La machine à tout faire ?

Retwitté par Korben ce matin, j'ai donc été voir cette machine à pondre de l'application à partir d'un seul code.

Vous vous en doutez, je suis assez méfiant de nature pour les soi-disant moteurs qui vous font tout. Et bien là je n'ai pas été déçu. Je regarde avant tout les screenshots des applications. Oh miracle c'est beaucoup (en fait rien que) des copies d'applications Java. Ligue 1... l'application pour Orange ? Celle là, on ne me la fera pas et en plus j'ose le dire, c'est un gros fake ! En effet, mettre Lens, Troyes et Nantes sur une journée de championnat de L1... même l'an passé ça n'aurait pas pu se faire. Et si c'est pour Orange France, le mot "refresh" aurait été banni.

Bref, rien que sur cette anecdote, j'ai tiqué. L'idée en soi est bonne et on a dans la même veine Titanium et GAP. Pour en avoir éprouvé une lors d'un passage de tests sur une application, il faut savoir que vous ne pouvez pas customiser comme vous l'entendez et la maitrise du code final si vous devez apporter des correctifs est des plus difficile si ce n'est pas possible.

Bref, je n'ai rien contre ce genre d'initiative qui démontrent que sur des flux et une mise en page simple on peut faire des choses mais lorsqu'il faut faire appel à des environnements divers et variés, il faut créer un code et donc une application de bout en bout.

A découvrir : NEOMADES
A lire : Applications mobiles multi-plateformes: les approches PhoneGap et Titanium Mobile

mercredi 15 février 2012

Réinstaller ses applications sous WP7

Une perte ou un changement de smartphone et c'est un peu le drame. Comment réinstaller ses applications favorites. Est ce que c'est possible sur un Windows Phone ? La réponse est affirmative avec Reinstaller.

Cette application permet,grâce à son compte lié au premier mobile de revoir la liste des applications téléchargées et de les réinstaller facilement. C'est pratique utile et surtout ça simplifie la vie d'un utilisateur.









jeudi 22 septembre 2011

Paper camera

Une bonne application sur l'Android market vous permettant de faire des photos avec des effets intéressants.

Un petit exemple pris ce matin avec mon Sony Ericsson Neo.

Si vous ne voulez pas utiliser un logiciel de dessin type Photoshop, les filtres pré définis apportent un rendu très sympathique.

Aussi, si vous recherchez une application qui vous permettra de faire des photos pas comme les autres, Paper Camera est faite pour vous.

Ne soyez pas rebuté à l'acheter pour la modique somme de 1,49€ sur l'Android Market. Une bouchée de pain en comparaison de l'apport.

Pour finir une petite vidéo de présentation du produit qui existe également pour iPad et iPhone.


lundi 21 février 2011

Souscription dans les applications

Le 15/02/2011, Apple publiait un communiqué intéressant : la souscription d'un abonnement dans les applications.

On se doutait déjà que la firme de Cupertino préparait quelque chose, cependant, cette nouvelle peut mettre les opérateurs en colère.

D'un point de vue généraliste, une entreprise va pouvoir offrir un abonnement à ses utilisateurs. en soi le business est intéressant. Plus besoin de passer par le système de paiement de l'opérateur, tout passe par iTunes.

D'un autre côté, les opérateurs, qui proposent des services optionnels, ne pourront plus limiter leur applications aux clients n'ayant pas telle ou telle option sans "offrir" le mécanisme de souscription d'iTunes.
Par ailleurs, comment déterminer qui est déjà inscrit et qui est un nouveau souscripteur ? Il faudra échanger les données. Chose qu'un opérateur refusera logiquement. Il ne va pas transmettre à sa base de clients à Apple.

Côté revenus, Apple conserve sa stratégie 70/30, alors que son concurrent Google ne conserve que 10%.

Alors que The National Enquirer publiait une information indiquant que Steve Jobs serait aux portes du Paradis, sa société croit fermement que le Walhalla des applications et une main mise sur toute la chaine de publication les rendra maitres du monde de la mobilité.
Ce sera peut être le tour d'honneur de Steve avant de tirer sa révérence.

jeudi 30 décembre 2010

Pajes Jaunes sur mobile

Julien BillotDans l'émission de RMC "de quoi j'me mail" Julien Billot, directeur général adjoint chez Pages Jaunes (voir article dédié à PJ) nous livre sa version du futur de l'annuaire sur mobile.

Pour mémoire, Juline Billot a été directeur marketing chez Orange. Il a beaucoup cru dans les applications sur mobile et reste sur sa pensée.

Une très bonne interview à écouter.

mercredi 6 octobre 2010

Simule mon prêt une petite appli iPhone utile

Voici une petite application utile pour connaitre très vite le coût total d'un crédit?

Simule mon Prêt est un simulateur de crédits sur iPhone et iPod Touch qui se veut à la fois facile d'utilisation et complet, actuelle ment en promo à 0,79€ au lieu de 3,99€

L'application se décompose en 4 parties :

Tab " Capacité" : calcul de la capacité d'emprunt (combien en fonction de mes revenus et crédit en cours je peux emprunter en plus)
Tab "Simulation" : c'est pivot de l'application avec 3 fonctions clés :
  1. une fois le montant d'emprunt, la durée en mois ou années, le taux d'interet, optionnellement le taux d'assurance et les frais du crédit renseignés, l'application calcule la mensualité, le cout du crédit , le TEG et affiche la répartition de l'utilisation des remboursements sous la forme d'un graphe 3D (capital, intérêt, assurance, frais).
  2. on peut régler la date de début du crédit et accéder au tableau d'amortissement par années et par mois qui peut être envoyé par mail au format pdf.
  3. les réglages avancées permettent de définir s'il s'agit d'un taux nominal ou actuariel, de choisir le type de taux effectif : TEG ou TAEG, et de definir le mode de remboursement du capital : in fine ou par échéance

Tab "Favoris" : On peut enregistrer chaque projet de crédit en rentrant le nom, nom de la banque, catégories de pret (immo, conso, auto, ...) pour les retrouver classés par catégories et les charger dans l'onglet simulation quand on veut

Tab "Plus" : recommender l'appli par mail, partager le lien sur facebook, contacter le support, offrir l'appli à un ami depuis l'App Store

Les dernières fonctionnalités rajoutées sont :
- Nouvel onglet pour partager l'application par mail ou via facebook et contacter le support client
- Option in fine pour le calcul de la capacité d'emprunt
- Graphiques en haute résolution pour l'écran Retina de l'iPhone 4


Simule

jeudi 26 août 2010

Place vs Foursquare

Une nouvelle bataille démarre dans les réseaux sociaux. Il s'agit ni plus ni moins de la géolocalisation.
La publicité M6 mobile montre déjà se phénomène mais en expliquant que c'est lié au changement de statut via le mobile.

Avec Foursquare, depuis pas mal de temps vous pouvez poster à la fois sur Twitter et Facebook le lieux où vous vous trouvez. Une carte en miniature apparaît également sur votre mur. Rien de plus facile pour votre tribu de vous retrouver.

Facebook Places, uniquement accessible aux US pour le moment va tenter de doubler Foursquare. Rien de plus naturel en fait que ce soit un service intégré à Facebook que de pouvoir être géolocalisé par sa tribu. Contrairement à Foursquare qui donne cette information à tous.

La bataille commence donc dans les services géolocalisés. Il y a 10 ans, un livre blanc était écrit par un collègue sur l'usage des SMS géolocalisés. Quel visionnaire ! Cependant ce sont les réseaux sociaux qui auront mis la main en premier sur ce phénomène et non les enseignes de la grande distribution.

A lire : Techcrunch

A écouter : l'Atelier numérique

mercredi 11 août 2010

Faites du sport... avec Android

Avec le Wii Fit les exercices étaient assez interactifs. Avec cet oreiller et une application Android "Training with Hinako", bande de pervers que vous êtes, amateurs de mangas, et gros geek par dessus le marché vous allez vous en donner à cœur joie.

Enjoy




Source : Kotaku

lundi 14 juin 2010

La reconnaissance vocale en marche

Il y a des épisodes de Star Trek qui pourraient maintenant être désuets. En effet, rappelez vous de Scotty devant un ordinateur et pestant contre la présence d'un clavier. Un peu plus prêt, vous pouvez commandez à la voix votre répondeur vocal chez Orange (pratique si vous avez les bras chargés... ou pas ;))

Avec l'arrivée de la recherche vocale, le célèbre moteur de recherche, vient encore de marquer des points. Pour ma part, je suis ravi de voir cela débarquer dans mon HTC Tattoo et de constater le bon fonctionnement.
Pour en bénéficier, car ce n'est pas de base dans votre mobile, dans l'Android Market, saisissez "recherche vocale". Normalement, la première réponse devrait être le produit de Google.Inc en version 1.4.1 (enfin c'est celle que j'ai). Une fois téléchargée et installée, mettez en widget la barre de recherche.
Un appui sur le micro et le tour est joué.

Handcent SMSPlus fort encore, ajoutez à ce moteur vocal, une petite application au doux nom de Handcent SMS et vous obtenez un gestionnaire de SMS, plutôt bien réalisé, et qui, si vous avez bien suivi, vous permet de dicter vos SMS.

Ce n'est pas encore tout à fait au point mais ça a le mérite d'exister, de fonctionner et de donner vie à la saisie du SMS.

Avec un appui long sur le bouton "loupe" sur mon HTC Tattoo (je n'ai pas essayé sur d'autres terminaux Android), j'ai le choix entre dicter un SMS ou faire une recherche vocale. Je n'en demandais pas tant !

Aussi, si vous souhaitez découvrir l'univers de la commande vocale, sautez le pas.

A lire :
- Salut! Willkommen! Benvenuto! ¡Bienvenido! Google Search by Voice in French, German, Italian and Spanish
- La reconnaissance vocale reconnaît le français !

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mercredi 21 avril 2010

Bonjour l'appli

S'il y a des applications qu'il faut posséder, en voici une qui a rendu aveugle une partie des personnes s'occupant de l'Android Market, avec pour fâcheuse conséquence, qu'elle a été sortie de ce dernier.

Aussi, pour que vous ayez toujours votre claquage rétinien quotidien, l'application Bonjour Madame ! revient sur Android (et même sur mon HTC Tattoo !). Vous pourrez la télécharger en vous rendant sur cette page.

Je vous délivre quelques screenshots pour vous convaincre, messieurs, de posséder une telle application.



Enfin, sachez que l'équipe du site Bonjour Madame -que je salue à travers ce post- a été fort sympathique en répondant à mes mails suite à la disparition de l'application.

Attention, vous aurez été prévenu, cette application pourra nuire à votre vue ;)

A voir : Bonjour Madame

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mardi 9 mars 2010

Urbankite, le test

Je vous l'indiquais dans un post précédent que l'application Urbankite était disponible en français dans l'AppStore.

Retransmettre une information c'est pas mal. Le mieux étant, tout de même de vous faire un petit test.

Comme je l'indiquais, Urbankite devance Foursquare de plus de 3 mois avec une ambition simple : permettre aux utilisateurs de Twitter sur des lieux intéressants comme des restaurants, des bars... Bref, des lieux pour se rencontrer et de déposer des commentaires via Twitter.

En terme de design, l'utilisateur trouve très rapidement ses marques. J'avoue avoir eu un peu de mal à saisir le principe de géolocalisation et le fait que tout soit exprimé en miles et non en kilomètres. Par ailleurs, cette corrélation avec Maps est très intéressante. Cela va inciter des professionnels à se faire référencer car Urbankite est l'archétype de l'application qui use du potentiel de Maps en terme de géolocalisation d'un lieu précis comme un restaurant.

Entre Foursquare et Urbankite, mon coeur balance. Urbankite est disponible pour iPhone et Android. A posséder surtout si vous voulez faire découvrir à vos amis des lieux où il faut se rendre.

Galerie d'images

A voir : Urbankite








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