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mardi 12 février 2008

Marketing Mobile

Marketing Mobile Depuis le début de l'année 2007, dans un article du JDN, la question de la publicité dans les offres mobiles.

Il aura fallu plus d'une année et un phénomène croissant de déportalisation auquel les opérateurs ne pourront plus rien faire pour que ces derniers se mettent à une même table pour mesurer la publicité sur mobile.

Les acteurs sur Gallery avaient saisi cela bien avant terme en demandant à ce qu'une bannière de publicité soit insérable dans leur site. Cela permet notamment de faire de la publicité croisée car pour l'instant limitée aux acteurs sur Gallery. Quand un système de type couponing apparaîtra ou déclenchera l'envoi d'un SMS avec une réduction après avoir cliqué sur une bannière, la publicité sur mobile deviendra intéressante.

Je pense que c'est l'offre et notamment ses fonctionnalités qui ne sont pas prévues pour le moment. Le marché est juste latent.


lundi 14 janvier 2008

Déportalisation (Néologisme)

Il y a quelques articles, le mot "déportalisation" a été lâché. Pour être franc, je n'aime pas ce mot, sa sonorité n'est pas excellente. Pourtant, il s'agit bien d'un phénomène que je vois s'amplifier dans les mois à venir.

La home page ci-contre contraste avec celle d'autrefois où l'utilisateur arrivait directement sur les liens du site Orange. C'est avant tout un picto qui invite l'utilisateur à entrer dans l'univers Orange World.

Ce phénomène va s'accentuer avec l'utilisation d'applications comme Yahoo Go (Java) et celle de Webwag (Java), en passant par des applications dédiées à la Ligue 1 ou au Rugby (Rich Media).

Enfin, les téléphones avec leur browser permettent de plus en plus de surfer "off" portail, et d'aller vers les sites du Web traditionnel. Toutefois, l'ergonomie et le poids des pages ne sont pas adaptés aux écrans des téléphones il y aura naturellement un frein à un usage "classique d'Internet avec un téléphone.

jeudi 10 janvier 2008

La fin de l'I-mode

Choix du troisième opérateur français et reposant sur une technologie far au pays Soleil Levant, l'I-mode devait résoudre l'échec du WAP.

Echec seloin moi relatif car il a fallu attendre l'arrivée du GPRS (qui n'est qu'une adaptation logicielle du mode GSM faisant transiter des données de 28 800 à 56 000 bps) et les téléphones couleurs soit... juillet 2002 pour découvrir le Nokia 7650 et le Sony Ericsson T68i ! L'I-mode débarque avec quasi une année de retard. Nous sommes en 2003.

Le modèle économique est un portail regroupant un ensemble de services payant. rien est offert au client. La stratégie inverse est portée par Orange et SFR depuis 2001 depuis le WAP noir et blanc.

La personnalisation du mobile et les contenus de charme permettront l'arrivée du micro paiement via des solutions comme celle de W-HA chez Orange.

Enfin, 2004 Orange est le premier opérateur à porter l'offre Gallery qui conduit invariablement à une déportalisation des contenus car l'opérateur n'est plus maitre des sites.

Bouygues Telecom avait peut être le bon modèle, mais sûrement aps au bon format et des téléphones peu prisés par le grand public. Enfin pour les éditeurs les contraintes de développement sont immenses (10 ko code+images, des logos souvent de moins de 10ko, quant au format des sonneries, ce n'est pas ce qui se fait de plus standard). Toutefois le challenge a permis une certaine rigueur en terme de développement.

L'I-mode ne survivra pas aux offres Internet Mobile (mon dieu, mon dieu) de Orange et de SFR. Je ne parle pas des applications Rich Media à venir ou déjà existantes comme celle qui a été développée pour la Coupe du Monde de Rugby.