J'annonçais cette semaine comme décisive en terme d'évolution du marché et un attentisme certain lié à la sorti d'un Gphone ou du moins d'un téléphone fonctionnant sous Android.
On assiste actuellement à un déballage de prototype dont la finition montre un certain retard dans la conception de l'objet. Par ailleurs, et personne ne semble en avoir fait la remarque mais le pictogramme représentant le réseau est un "G". Ce symbole est caractéristique d'un réseau GPRS voir EDGE mais pas 3G et encore moins HSDPA.
Ce premier point sera intéressant à surveiller. Le second est l'intégration des outils Google. Il manque cruellement des icônes pour lancer Gtalk, Reader, Picasa, Blogger... en somme tout ce que peut comporter un compte Google. Par ailleurs il faudra implémenter Google Groups.
Enfin, la news très intéressante reste que Google et Brightpoint annoncent un accord pour pré installer dans divers téléphones Google Search et Google Maps. Les téléphones impactés fonctionnent sous Windows Mobile, Blackberry, Palm OS, et Symbian. Apparemment le N96 futur fer de lance de Nokia en sera équipé.
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mardi 12 février 2008
jeudi 10 janvier 2008
La fin de l'I-mode
Choix du troisième opérateur français et reposant sur une technologie far au pays Soleil Levant, l'I-mode devait résoudre l'échec du WAP.
Echec seloin moi relatif car il a fallu attendre l'arrivée du GPRS (qui n'est qu'une adaptation logicielle du mode GSM faisant transiter des données de 28 800 à 56 000 bps) et les téléphones couleurs soit... juillet 2002 pour découvrir le Nokia 7650 et le Sony Ericsson T68i ! L'I-mode débarque avec quasi une année de retard. Nous sommes en 2003.
Le modèle économique est un portail regroupant un ensemble de services payant. rien est offert au client. La stratégie inverse est portée par Orange et SFR depuis 2001 depuis le WAP noir et blanc.
La personnalisation du mobile et les contenus de charme permettront l'arrivée du micro paiement via des solutions comme celle de W-HA chez Orange.
Enfin, 2004 Orange est le premier opérateur à porter l'offre Gallery qui conduit invariablement à une déportalisation des contenus car l'opérateur n'est plus maitre des sites.
Bouygues Telecom avait peut être le bon modèle, mais sûrement aps au bon format et des téléphones peu prisés par le grand public. Enfin pour les éditeurs les contraintes de développement sont immenses (10 ko code+images, des logos souvent de moins de 10ko, quant au format des sonneries, ce n'est pas ce qui se fait de plus standard). Toutefois le challenge a permis une certaine rigueur en terme de développement.
L'I-mode ne survivra pas aux offres Internet Mobile (mon dieu, mon dieu) de Orange et de SFR. Je ne parle pas des applications Rich Media à venir ou déjà existantes comme celle qui a été développée pour la Coupe du Monde de Rugby.
Echec seloin moi relatif car il a fallu attendre l'arrivée du GPRS (qui n'est qu'une adaptation logicielle du mode GSM faisant transiter des données de 28 800 à 56 000 bps) et les téléphones couleurs soit... juillet 2002 pour découvrir le Nokia 7650 et le Sony Ericsson T68i ! L'I-mode débarque avec quasi une année de retard. Nous sommes en 2003.
Le modèle économique est un portail regroupant un ensemble de services payant. rien est offert au client. La stratégie inverse est portée par Orange et SFR depuis 2001 depuis le WAP noir et blanc.
La personnalisation du mobile et les contenus de charme permettront l'arrivée du micro paiement via des solutions comme celle de W-HA chez Orange.
Enfin, 2004 Orange est le premier opérateur à porter l'offre Gallery qui conduit invariablement à une déportalisation des contenus car l'opérateur n'est plus maitre des sites.
Bouygues Telecom avait peut être le bon modèle, mais sûrement aps au bon format et des téléphones peu prisés par le grand public. Enfin pour les éditeurs les contraintes de développement sont immenses (10 ko code+images, des logos souvent de moins de 10ko, quant au format des sonneries, ce n'est pas ce qui se fait de plus standard). Toutefois le challenge a permis une certaine rigueur en terme de développement.
L'I-mode ne survivra pas aux offres Internet Mobile (mon dieu, mon dieu) de Orange et de SFR. Je ne parle pas des applications Rich Media à venir ou déjà existantes comme celle qui a été développée pour la Coupe du Monde de Rugby.
mercredi 2 janvier 2008
Usage du Multimédia Mobile
C'est en lisant mes flux RSS quotidiens que je me rendis compte (effectivement) qu'on utilisait peu de choses tant en terme d'applications que de sites.
Cependant, plongeons nous tout d'abord sur les usages du Multimédia Mobile. Selon l'institut Médiamètrie, 10,7 millions de français ont utilisé l'Internet Mobile. Je m'interroge tout d'abord sur qu'entend-on par Internet Mobile car l'ACERP classe l'usage de MMS et l'envoi (pas la réception, étrange) d'e-mail dans cette catégorie ? Médiamètrie est flou sur la définition :
- Mobinautes : Utilisateur principal de téléphone mobile déclarant avoir déjà consulté des
informations ou utilisé des services de l’internet mobile.
- Internet mobile : Ensemble des services mobiles utilisables depuis un téléphone mobile.
Selon moi est un Mobinaute toute personne utilisant de manière régulière les services utilisant les programmes du téléphones permettant d'avoir un usage quasi similaires à ceux d'un ordinateur pour disposer des fonctionnalités de manière non exhaustive : le browsing, les fonctions mail, ou entrainant une communication via le mode données (GPRS, Edge, 3G...) du téléphone.
Cette définition englobe de facto les applications Java et Rich media embarquées.
Quel est le rapport entre la statistique de Médiamètrie et les usages fréquents de nos chères applications ? La statistique ne m'émeut guère car si on se penche sur celle d'un opérateur, c'est pas moins de 30 millions de connexion par mois. Donc si on pose plus finement la question, sur un réel usage, Médiamètrie a une statistique correcte.
Les Mobinautes semblent utiliser l'Internet Mobile pour les même usages (mail et consultation de news -sport, horoscope...-) par contre la télévision sur Mobile progresse de 2,1 points passant à 20%.
Aussi entre le Web et Outlook (la version 2007 me permettant de consulter mes mails et les flux RSS), je n'ai donc plus grande différence entre mes usages mobiles et "fixes". Ce qui est étrange c'est que nous entendons parler de nombreuses start up mais qu'en fin de compte peu voient leur services utilisés.
Pour finir ce billet, une petite vidéo amusante relative à la mobilité. Enjoy.
Cependant, plongeons nous tout d'abord sur les usages du Multimédia Mobile. Selon l'institut Médiamètrie, 10,7 millions de français ont utilisé l'Internet Mobile. Je m'interroge tout d'abord sur qu'entend-on par Internet Mobile car l'ACERP classe l'usage de MMS et l'envoi (pas la réception, étrange) d'e-mail dans cette catégorie ? Médiamètrie est flou sur la définition :
- Mobinautes : Utilisateur principal de téléphone mobile déclarant avoir déjà consulté des
informations ou utilisé des services de l’internet mobile.
- Internet mobile : Ensemble des services mobiles utilisables depuis un téléphone mobile.
Selon moi est un Mobinaute toute personne utilisant de manière régulière les services utilisant les programmes du téléphones permettant d'avoir un usage quasi similaires à ceux d'un ordinateur pour disposer des fonctionnalités de manière non exhaustive : le browsing, les fonctions mail, ou entrainant une communication via le mode données (GPRS, Edge, 3G...) du téléphone.
Cette définition englobe de facto les applications Java et Rich media embarquées.
Quel est le rapport entre la statistique de Médiamètrie et les usages fréquents de nos chères applications ? La statistique ne m'émeut guère car si on se penche sur celle d'un opérateur, c'est pas moins de 30 millions de connexion par mois. Donc si on pose plus finement la question, sur un réel usage, Médiamètrie a une statistique correcte.
Les Mobinautes semblent utiliser l'Internet Mobile pour les même usages (mail et consultation de news -sport, horoscope...-) par contre la télévision sur Mobile progresse de 2,1 points passant à 20%.
Aussi entre le Web et Outlook (la version 2007 me permettant de consulter mes mails et les flux RSS), je n'ai donc plus grande différence entre mes usages mobiles et "fixes". Ce qui est étrange c'est que nous entendons parler de nombreuses start up mais qu'en fin de compte peu voient leur services utilisés.
Pour finir ce billet, une petite vidéo amusante relative à la mobilité. Enjoy.
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lundi 31 décembre 2007
Résolutions pour l'année prochaine
Pour ce dernier jour de l'année, je reste très conceptuel avec cette image qui symbolise la haute résolution... Je vous l'accorde ça fait très geek. Je me soigne, je vous promets de faire des efforts.
Concernant l'arrêt de la cigarette, j'avoue que sur ce point l'anticipation de l'interdiction de fumer a été réalisée il y a un an et demi. Résultat je suis sevré de la nicotine depuis 3 mois maintenant.
Ce que je voudrais pour l'année 2008, c'est de pouvoir lire les flux RSS directement dans mon mobile de manière conviviale. Bon, les Widsets le font déjà très bien ainsi que Yahoo Go ! Etonnant que les américains si en retard sur le mobile pour cause de réseau GSM peu étendu (et des mobiles datant de plus d'un an par rapport aux modèles européens), réalisent de si belles applications. En fait, mon voeu sera à moitié exaucé car je participerai à l'élaboration d'application d'un nouveau type sur mobile.
Enfin, je voudrais que les opérateurs soient plus transparents sur la vitesse du réseau 3G et arrête de brider le flux comme ça avait été le cas avec l'ADSL sur le fixe.
Concernant l'arrêt de la cigarette, j'avoue que sur ce point l'anticipation de l'interdiction de fumer a été réalisée il y a un an et demi. Résultat je suis sevré de la nicotine depuis 3 mois maintenant.
Ce que je voudrais pour l'année 2008, c'est de pouvoir lire les flux RSS directement dans mon mobile de manière conviviale. Bon, les Widsets le font déjà très bien ainsi que Yahoo Go ! Etonnant que les américains si en retard sur le mobile pour cause de réseau GSM peu étendu (et des mobiles datant de plus d'un an par rapport aux modèles européens), réalisent de si belles applications. En fait, mon voeu sera à moitié exaucé car je participerai à l'élaboration d'application d'un nouveau type sur mobile.
Enfin, je voudrais que les opérateurs soient plus transparents sur la vitesse du réseau 3G et arrête de brider le flux comme ça avait été le cas avec l'ADSL sur le fixe.
mardi 18 décembre 2007
Ergonomie des sites ou des applications
Lors de mes recherches R&D au travail, je me suis encore arrêté sur Google. Site incontournable pour moi et pratique. Là je suis tombé nez à nez (aie !) sur Google Maps version Mobile !
Il existe déjà une version Google pour mobiles mais là c'est une application complète en Java. Ci-contre je l'ai installée sur un Nokia E65. En 3G je peux vous assurer que l'affichage en mode plan et la vue satellite sont de très bonne facture.
Ayant à titre personnel un Sony Ericsson Z530i donc un chargement en GRPS lent, enfin, presque à 48 ko/s au maximum. Et apparemment SFR lâche les octets. En tout cas je consomme de la data.
Ce qui m'a surpris c'est la fluidité de l'application et les menus contextuels. Ne pas disposer du même menu en fonction de la touche utilisée c'est très fort. Même sur mon écran de 128x160, l'application est réellement intéressante.
Etant un concepteur de sites mobiles, je pense non pas en avoir fait le tour mais les 2 gros portails actuels ont des chartes qui permettent de faire des sites dont la présentation peut se résumer en 5 pages maximum. Cela vous semble faible mais pensez que vous cherchez à surfer rapidement aussi.
Avec les nouvelles applications Java mais aussi le Rich media, nous allons vers de nouvelles manières de voir l'Internet Mobile. Il ne sera peu être pas 2.0.
Il existe déjà une version Google pour mobiles mais là c'est une application complète en Java. Ci-contre je l'ai installée sur un Nokia E65. En 3G je peux vous assurer que l'affichage en mode plan et la vue satellite sont de très bonne facture.
Ayant à titre personnel un Sony Ericsson Z530i donc un chargement en GRPS lent, enfin, presque à 48 ko/s au maximum. Et apparemment SFR lâche les octets. En tout cas je consomme de la data.
Ce qui m'a surpris c'est la fluidité de l'application et les menus contextuels. Ne pas disposer du même menu en fonction de la touche utilisée c'est très fort. Même sur mon écran de 128x160, l'application est réellement intéressante.
Etant un concepteur de sites mobiles, je pense non pas en avoir fait le tour mais les 2 gros portails actuels ont des chartes qui permettent de faire des sites dont la présentation peut se résumer en 5 pages maximum. Cela vous semble faible mais pensez que vous cherchez à surfer rapidement aussi.
Avec les nouvelles applications Java mais aussi le Rich media, nous allons vers de nouvelles manières de voir l'Internet Mobile. Il ne sera peu être pas 2.0.
dimanche 11 novembre 2007
La mobilité en USB
Sur de nombreux PC le port pour les cartes PCMCIA a disparu. D'une part parce qu'il prenait de la place et qu'il fallait un driver adapté.
Par ailleur les ports USB tendent à être sollicités de plus en plus (clé de 4Go, clé servant de balladeur mp3...). Dans notre cas, Sony Ericsson lance deux clés au format USB non pas pour du stockage mais surtout pour communiquer à grande vitesse en situation de mobilité.
Utilisant les réseaux actuels (HSDPA, 3G, EDGE et GPRS), cette clé sera l'idéal compagnon de voyage de l'ordinateur portable qui vous accompagne tout au long de vos trajets.
Enfin, quand je regarde la publicité de SFR avec sa clé 3G je souris en pensant que dans un TGV je ne pourrai toujours pas m'en servir.
Les capacités de la clé DM300 de Sony Ericsson résumées ci-dessous
Product Name MD300 Mobile Broadband USB Modem
Form USB 2.0 (__) High speed
Size Compact size, 70 x 32.5 x 15 mm
HSDPA Up to 3.6 Mbps, downlink
Antenna Integrated antenna design
HSDPA/UMTS Triple band 850/1900/ 2100 MHz
EDGE/GPRS Band Quad band 850/900/1800/1900 MHz
Operating Systems MS Windows® 2000, XP, Vista, MAC-OS X supported
Features/Enablers Sony Ericsson Wireless Manager
Auto-installation and auto-configuration
128 MB addressable memory for the user
Multi colour LED illumination indicating communication status
24 supported languages
Sony Ericsson update services
Par ailleur les ports USB tendent à être sollicités de plus en plus (clé de 4Go, clé servant de balladeur mp3...). Dans notre cas, Sony Ericsson lance deux clés au format USB non pas pour du stockage mais surtout pour communiquer à grande vitesse en situation de mobilité.
Utilisant les réseaux actuels (HSDPA, 3G, EDGE et GPRS), cette clé sera l'idéal compagnon de voyage de l'ordinateur portable qui vous accompagne tout au long de vos trajets.
Enfin, quand je regarde la publicité de SFR avec sa clé 3G je souris en pensant que dans un TGV je ne pourrai toujours pas m'en servir.
Les capacités de la clé DM300 de Sony Ericsson résumées ci-dessous
Product Name MD300 Mobile Broadband USB Modem
Form USB 2.0 (__) High speed
Size Compact size, 70 x 32.5 x 15 mm
HSDPA Up to 3.6 Mbps, downlink
Antenna Integrated antenna design
HSDPA/UMTS Triple band 850/1900/ 2100 MHz
EDGE/GPRS Band Quad band 850/900/1800/1900 MHz
Operating Systems MS Windows® 2000, XP, Vista, MAC-OS X supported
Features/Enablers Sony Ericsson Wireless Manager
Auto-installation and auto-configuration
128 MB addressable memory for the user
Multi colour LED illumination indicating communication status
24 supported languages
Sony Ericsson update services
vendredi 26 octobre 2007
GéoSticker
Si j'en crois les dires du site Neteco, Citynéo a réalisé une application pour GéoSticker un plan.
Le monde 2.0 est dédié à la collaboration, sur ce point, tout le monde est d'accord. Là où je le suis moins c'est quand on vous présente une chose qui ne fonctionne pas. Ne m'arguez pas que c'est une version Beta. En effet, on a une belle carte mais impossible d'y déposer la moindre information.
Première chose, c'est l'initiative tout à fait louable. Je ne vais pas aller à l'encontre de ce système. il existe déjà pour les navigateurs GPS dont mon fidèle TOMTOM un excellent site sur lequel on peut mettre à jour ses POI (Point of Interest). C'est moins joli car c'est une référence cartographique sur des coordonnées de GPS et il manque une photo, par exemple. A défaut on a un BMP.
Sur le second point, et j'en reviens à mon introduction, le service ne fonctionne pas. En fait, je ne sais pas comment géotagger un lieu. Autant sur Pikeo, je vais trouver comment réaliser cette opération.
Enfin, mais là c'est une critique de l'article de Neteco qui démarre par "Mobile 2.0 ?" Il faudrait déjà savoir si on est bien dans le même monde. Pour moi la mobilité c'est à la fois ce qui se passe sur des téléphones mais également un PDA ou un GPS bref, ces petits outils qui nous affranchissent d'un socle plus grand comme un ordinateur. Maintenant si on entend dans mobilité les ordinateurs portables, on conservera toujours une mauvaise vision de ce qui se fait sur les téléphones et autres outils et les ordinateurs.
Le monde 2.0 est dédié à la collaboration, sur ce point, tout le monde est d'accord. Là où je le suis moins c'est quand on vous présente une chose qui ne fonctionne pas. Ne m'arguez pas que c'est une version Beta. En effet, on a une belle carte mais impossible d'y déposer la moindre information.
Première chose, c'est l'initiative tout à fait louable. Je ne vais pas aller à l'encontre de ce système. il existe déjà pour les navigateurs GPS dont mon fidèle TOMTOM un excellent site sur lequel on peut mettre à jour ses POI (Point of Interest). C'est moins joli car c'est une référence cartographique sur des coordonnées de GPS et il manque une photo, par exemple. A défaut on a un BMP.
Sur le second point, et j'en reviens à mon introduction, le service ne fonctionne pas. En fait, je ne sais pas comment géotagger un lieu. Autant sur Pikeo, je vais trouver comment réaliser cette opération.
Enfin, mais là c'est une critique de l'article de Neteco qui démarre par "Mobile 2.0 ?" Il faudrait déjà savoir si on est bien dans le même monde. Pour moi la mobilité c'est à la fois ce qui se passe sur des téléphones mais également un PDA ou un GPS bref, ces petits outils qui nous affranchissent d'un socle plus grand comme un ordinateur. Maintenant si on entend dans mobilité les ordinateurs portables, on conservera toujours une mauvaise vision de ce qui se fait sur les téléphones et autres outils et les ordinateurs.
dimanche 7 octobre 2007
Steve Jobs ne partage pas
Si on regarde ce qui se passe dans le monde de la téléphonie on s'aperçoit que les équipes de Steve Jobs font tout pour que le dernier jouet, très américain, soit non seulement une exclusivité pour un opérateur, mais également que cet opérateur doive se soumettre à Apple.
Très américain
J'ose dire que ce téléphone est très américain. En effet, le réseau GSM, je devrais dire CDMA (norme US), n'est pas aussi développé qu'en Europe. Par ailleurs, il faut savoir qu'en matière de téléphonie les US ont à peu près 2 ans de retard sur nous. Lorsque je travaillais pour une autre société, implantée au US, le meilleur téléphone était le Motorola V3 alors que nous en étions déjà au N70.
MMS ? Connait pas. En effet, l'i-Phone n'a pas cette fonction. C'est un peu dommage dans la mesure où tous les téléphones ont cette fonction de base.
Bref, un téléphone pour un marché émergeant dans la téléphonie mobile.
La soumission au gourou
Je me demande si les patrons des opérateurs ne devaient pas cirer les chaussures de Steve Jobs ou prêter allégeance. En tout cas au vu des sommes folles pour acquérir l'exclusivité, nous n'en sommes pas loin. O2 a plombé ses comptes pour les 5 prochaines années pour avoir une telle exclusivité.
Soumission du consommateur ? Le taux de change doit être pris en considération. Trop fort Apple réussit une conversion 1 Euro = 1 Dollar. A ce jour 1 dollar = 1,41 euro. Ainsi un i-phone vendu à 399$ = 280,99 €. Et bien non chez Apple le taux de change n'est qu'une vue de l'esprit et nous serons les crétins qui mettront la main au porte monnaie.
Message personnel
Monsieur Jobs, je ne me soumettrai pas à votre dictature du prix, d'une offre technologique décevante par rapport à ce qui se fait en Europe, je ne me servirai pas d'iTunes ou i-Thunes, pour me faire des sonneries alors que j'ai déjà payé mes morceaux.
Allez j'admire votre dernière invention ;)
Très américain
J'ose dire que ce téléphone est très américain. En effet, le réseau GSM, je devrais dire CDMA (norme US), n'est pas aussi développé qu'en Europe. Par ailleurs, il faut savoir qu'en matière de téléphonie les US ont à peu près 2 ans de retard sur nous. Lorsque je travaillais pour une autre société, implantée au US, le meilleur téléphone était le Motorola V3 alors que nous en étions déjà au N70.
MMS ? Connait pas. En effet, l'i-Phone n'a pas cette fonction. C'est un peu dommage dans la mesure où tous les téléphones ont cette fonction de base.
Bref, un téléphone pour un marché émergeant dans la téléphonie mobile.
La soumission au gourou
Je me demande si les patrons des opérateurs ne devaient pas cirer les chaussures de Steve Jobs ou prêter allégeance. En tout cas au vu des sommes folles pour acquérir l'exclusivité, nous n'en sommes pas loin. O2 a plombé ses comptes pour les 5 prochaines années pour avoir une telle exclusivité.
Soumission du consommateur ? Le taux de change doit être pris en considération. Trop fort Apple réussit une conversion 1 Euro = 1 Dollar. A ce jour 1 dollar = 1,41 euro. Ainsi un i-phone vendu à 399$ = 280,99 €. Et bien non chez Apple le taux de change n'est qu'une vue de l'esprit et nous serons les crétins qui mettront la main au porte monnaie.
Message personnel
Monsieur Jobs, je ne me soumettrai pas à votre dictature du prix, d'une offre technologique décevante par rapport à ce qui se fait en Europe, je ne me servirai pas d'iTunes ou i-Thunes, pour me faire des sonneries alors que j'ai déjà payé mes morceaux.
Allez j'admire votre dernière invention ;)
vendredi 5 octobre 2007
Historique de l'Internet mobile
Fin 1999, les start up Internet sont en pleine effervescence, et on annonce à grand coup de matraquage l'arrivée du WAP.
Pourra-t-on tout faire avec cette technologie mobile ? Tout le monde vous répondait par l'affirmative.
Quelle déception ! Peu de téléphones, un débit frisant le ridicule 9600 bps, un minitel allait tout aussi vite. Un écran réduit. A quoi s'attendait-on ?!
Des pionners du WAP dont l'aventure commença en fin 1999, il reste les principes de navigation.
Le GPRS n'a pas fait avancer le WAP comme beaucoup voudraient nous le faire croire car ce n'est que évolution logiciel de la couche de communication.
Les téléphones en mi 2002 et durant l'année 2003 supportent la couleur. On passe de 256 à plus de 16 Millions de couleurs. Le jpeg est enfin supporté, les usages se développent.
2003 est aussi l'arrivée supposée de la norme UMTS dite 3G. Il faudra attendre réellement 2 ans de plus pour la voir débarquer avec à la clé des téléphones imposants, chers et très chauds lors de leur utilisation. Très pratique en hiver toutefois ;)
Nous sommes à la fin 2007, les utilisateurs ont vu leurs téléphones se transformer en baladeurs, mini studio de télévision, en appareil photo numérique. L'utilisation des potentiels des téléphones est encore à développer.
Pourra-t-on tout faire avec cette technologie mobile ? Tout le monde vous répondait par l'affirmative.
Quelle déception ! Peu de téléphones, un débit frisant le ridicule 9600 bps, un minitel allait tout aussi vite. Un écran réduit. A quoi s'attendait-on ?!
Des pionners du WAP dont l'aventure commença en fin 1999, il reste les principes de navigation.
Le GPRS n'a pas fait avancer le WAP comme beaucoup voudraient nous le faire croire car ce n'est que évolution logiciel de la couche de communication.
Les téléphones en mi 2002 et durant l'année 2003 supportent la couleur. On passe de 256 à plus de 16 Millions de couleurs. Le jpeg est enfin supporté, les usages se développent.
2003 est aussi l'arrivée supposée de la norme UMTS dite 3G. Il faudra attendre réellement 2 ans de plus pour la voir débarquer avec à la clé des téléphones imposants, chers et très chauds lors de leur utilisation. Très pratique en hiver toutefois ;)
Nous sommes à la fin 2007, les utilisateurs ont vu leurs téléphones se transformer en baladeurs, mini studio de télévision, en appareil photo numérique. L'utilisation des potentiels des téléphones est encore à développer.
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