Une fois n'est pas coutume, j'ai été sollicité dans le commentaire d'un billet pour utiliser un nouveau lecteur.
Aussi bien qu'un crash test, j'ai donc téléchargé l'archive Java pour mon Sony Ericsson K800i. La version du fichier est 1.01.0 pour ceux d'entre vous qui souhaiteraient en savoir plus.
Au niveau des menu, le lecteur est personnalisable et traduit en français ! Premier bon point pour ce produit.
Ensuite il est compatible avec le QR Code et le Datamatrix ce qui pour moi est un avantage car il lit les 2 codes sur mon blog.
Selon l'éditeur il est compatible avec les formats suivants : Datamatrix, QR, Aztec, et Maxi.
Seule ombre au tableau : la lecture des caractères accentués de type "é, è...". Cette lacune est commune à toutes les applications que j'ai pu tester. Il faudra donc songer soit à ne pas utiliser ce type de caractères, soit, dans les interfaces de saisie, traiter automatiquement une conversion d'un signe diacritique en lettre simple.
Je cherchais un lecteur unique, je l'ai. Pour télécharger ce lecteur dans votre mobile : http://get.neoreader.com et plus d'information ici.
samedi 15 mars 2008
vendredi 14 mars 2008
L'Anté-Christ de l'iPhone
Un téléphone sert avant tout à...
mercredi 12 mars 2008
Flashlite 3
Soit je suis en retard sur ce qui se fait ou Adobe a imaginé ce qui se fait déjà. En effet, dans l'article relatif à la sortie de Flash Lite 3 on y lit une ligne assez déroutante dans laquelle on peut lire que grâce à Flash Lite on pourra avoir des des vidéos et des sonneries animées.
Je me suis précipité sur mon téléphone pour vérifier que les vidéos déjà présentes peuvent être utilisées comme sonnerie. L'analyse qu'il faut en tirer surtout c'est que Flash Lite ne doit pas servir à cela mais bien d'intégrer des applications complètes basée sur Flash Lite.
Enfin, point très pratique, il y a un très bon tableau récapitulatif des terminaux utilisant Flash Lite et indiquant quelle versions sont supportées.
Je me suis précipité sur mon téléphone pour vérifier que les vidéos déjà présentes peuvent être utilisées comme sonnerie. L'analyse qu'il faut en tirer surtout c'est que Flash Lite ne doit pas servir à cela mais bien d'intégrer des applications complètes basée sur Flash Lite.
Enfin, point très pratique, il y a un très bon tableau récapitulatif des terminaux utilisant Flash Lite et indiquant quelle versions sont supportées.
La barre des 100 000
Apple annonce que la barre des 100 000 téléchargements du SDK sont atteints.
Soit, très beau score au 12 mars 2008 soit une semaine après l'annonce de sa sortie. J'avoue une certaine hâte à le découvrir et à le voir tourner sur un Mac Book fonctionnant sous Léopard.
Par contre, je voudrais bien voir les statistiques détaillées notamment le nombre de personnes ayant un PC et qui se sont retrouvées face à une impossibilité de l'ouvrir.
Bon en tout cas, souhaitons que ce succès se traduise par un florilège de belles applications.
Soit, très beau score au 12 mars 2008 soit une semaine après l'annonce de sa sortie. J'avoue une certaine hâte à le découvrir et à le voir tourner sur un Mac Book fonctionnant sous Léopard.
Par contre, je voudrais bien voir les statistiques détaillées notamment le nombre de personnes ayant un PC et qui se sont retrouvées face à une impossibilité de l'ouvrir.
Bon en tout cas, souhaitons que ce succès se traduise par un florilège de belles applications.
mardi 11 mars 2008
Rechercher un contact
Il fallait voir et revoir la vidéo de présentation du SDK faite par Apple pour apercevoir apparemment une fonction de recherche dans les contacts.
La news est juste sur ce lien avec l'image.
La news est juste sur ce lien avec l'image.
samedi 8 mars 2008
Othello chez Vodafone
Il ne s'agit pas de la célèbre pièce de Shakespeare mais une reconnaissance de forme évoluée permettant d'afficher un article ou une vidéo.
Basé sur un principe plus élaboré que celui de PicToMobile, l'utilisateur prend une photo dans un journal, un support publicitaire... et il reçoit un média correspondant (film ou son).
Ce nouveau produit implique outre l'utilisation de la technologie du MMS donc jusque là rien de bien compliqué mais aussi, un moteur de recherche qui doit dans une photo reçue, ne prendre que ce qui est réellement pertinent, puis comparer cet élément avec une base de vidéo et/ou de fichiers sonores. Enfin, il faut envoyer un lien à l'utilisateur pour qu'il visualise ou écoute le média.
Google travaillait déjà sur cela, c'est donc le monde de la mobilité qui remporte cette technologie. Attention, bien que prometteur, la technologie est selon moi balbutiante et méritera d'être éprouvée. En effet, que répondra le moteur si je renvoie une image avec un Sony Ericsson T68i ?
La vidéo de démonstration est ici.
Basé sur un principe plus élaboré que celui de PicToMobile, l'utilisateur prend une photo dans un journal, un support publicitaire... et il reçoit un média correspondant (film ou son).
Ce nouveau produit implique outre l'utilisation de la technologie du MMS donc jusque là rien de bien compliqué mais aussi, un moteur de recherche qui doit dans une photo reçue, ne prendre que ce qui est réellement pertinent, puis comparer cet élément avec une base de vidéo et/ou de fichiers sonores. Enfin, il faut envoyer un lien à l'utilisateur pour qu'il visualise ou écoute le média.
Google travaillait déjà sur cela, c'est donc le monde de la mobilité qui remporte cette technologie. Attention, bien que prometteur, la technologie est selon moi balbutiante et méritera d'être éprouvée. En effet, que répondra le moteur si je renvoie une image avec un Sony Ericsson T68i ?
La vidéo de démonstration est ici.
En avance sur l'Atelier Numérique
Je suis assez content car j'écoutais en voiture l'excellente émission "L'Atelier Numérique" sur BFM et je suis assez heureux car Bertrand parle des codes barre 2D. En fait la news était l'accord tri opérateur sur le format.
Il est bien indiqué que les téléphones embarqueront des lecteurs pour lire ces codes. Il reste toutefois les questions suivantes :
Je vais être un peu l'avocat du diable car j'ai éprouvé un lecteur sur certain téléphones. Une fois le lecteur certain, pour un opérateur les offres fleuriront. Dores et déjà utilisez ceux présents sur la toile pour lire ce blog sur votre mobile.
Il est bien indiqué que les téléphones embarqueront des lecteurs pour lire ces codes. Il reste toutefois les questions suivantes :
- Quel lecteur ? du moins de quel société ?
- Tous les lecteurs seront-ils compatibles avec tous les téléphones ?
- Quelles seront les premières applications lancées utilisant les codes 2D ?
Je vais être un peu l'avocat du diable car j'ai éprouvé un lecteur sur certain téléphones. Une fois le lecteur certain, pour un opérateur les offres fleuriront. Dores et déjà utilisez ceux présents sur la toile pour lire ce blog sur votre mobile.
Force et faiblesse d'Apple
L'annonce du SDK pour l'iPhone (et de l'iPod touch) par Apple m'a tout d'abord amusé car mon idole conserve toutes ses mimiques.
Ensuite je me suis interrogé sur les finalités d'Apple et il y a matière à cogiter. Ce qui fait le succès des PC et forcément des produits Microsoft c'est d'être bon marché et accessible (ou presque) à tous. Je pense toujours que les produits Apple sont chers, élitistes et de mauvaise facture.
J'en veux pour preuve les points suivants :
- La coque des Mac Book se casse facilement sans chocs ;
- Les produits Apple récent ne respectent pas les normes environnementales ;
- Le Macbook Air a un disque dur fonctionnant à 4200 rpm ;
- 399$/€ un iPhone ! (par exemple)
A cette liste nous allons ajouter les coûts pour les particuliers d'utiliser le SDK : un ordinateur Apple fonctionnant sous Léopard et 99$/€ pour pouvoir publier son application.
J'appelle cela de l'arrogance.
En contre partie, Apple a su créer chez les opérateurs et les consommateurs de nouvelles attentes.
En effet, personne n'avait imposé aux opérateurs un appareil de la sorte et maitrisé la chaine de revenu en allant même jusqu'aux sonneries et aux partage de revenus liés à l'utilisation de l'appareil. Tous ont payé leur écot à la firme de Cuppertino pour avoir l'objet.
Les consommateurs ont vu dans l'iPhone un tout : iPod et téléphone pouvant aller non pas sur Internet mais surfer comme à la maison.
Pour le profane, il est clair que l'outil se limitera à une utilisation élémentaire pour appeler et surfer rapidement tout en mettant à jour régulièrement son jouet. Pour le spécialiste, que je suis et bien que l'engouement pour ce téléphone me dépasse, il est clair qu'il représente un gain en terme de revenus pour celui qui maitrise les développements sur ce dernier. En effet nombre d'entreprises voudront des applications fonctionnant dessus. C'est à la fois élitiste et vendeur ! Je suis "in" si je l'ai.
Mon Sony Ericsson peut paraître comme un dinosaure face à l'iPhone toutefois, vu ce dont il dispose en applications, et son faible encombrement, je lui donne donc toutes mes faveurs.
Ensuite je me suis interrogé sur les finalités d'Apple et il y a matière à cogiter. Ce qui fait le succès des PC et forcément des produits Microsoft c'est d'être bon marché et accessible (ou presque) à tous. Je pense toujours que les produits Apple sont chers, élitistes et de mauvaise facture.
J'en veux pour preuve les points suivants :
- La coque des Mac Book se casse facilement sans chocs ;
- Les produits Apple récent ne respectent pas les normes environnementales ;
- Le Macbook Air a un disque dur fonctionnant à 4200 rpm ;
- 399$/€ un iPhone ! (par exemple)
A cette liste nous allons ajouter les coûts pour les particuliers d'utiliser le SDK : un ordinateur Apple fonctionnant sous Léopard et 99$/€ pour pouvoir publier son application.
J'appelle cela de l'arrogance.
En contre partie, Apple a su créer chez les opérateurs et les consommateurs de nouvelles attentes.
En effet, personne n'avait imposé aux opérateurs un appareil de la sorte et maitrisé la chaine de revenu en allant même jusqu'aux sonneries et aux partage de revenus liés à l'utilisation de l'appareil. Tous ont payé leur écot à la firme de Cuppertino pour avoir l'objet.
Les consommateurs ont vu dans l'iPhone un tout : iPod et téléphone pouvant aller non pas sur Internet mais surfer comme à la maison.
Pour le profane, il est clair que l'outil se limitera à une utilisation élémentaire pour appeler et surfer rapidement tout en mettant à jour régulièrement son jouet. Pour le spécialiste, que je suis et bien que l'engouement pour ce téléphone me dépasse, il est clair qu'il représente un gain en terme de revenus pour celui qui maitrise les développements sur ce dernier. En effet nombre d'entreprises voudront des applications fonctionnant dessus. C'est à la fois élitiste et vendeur ! Je suis "in" si je l'ai.
Mon Sony Ericsson peut paraître comme un dinosaure face à l'iPhone toutefois, vu ce dont il dispose en applications, et son faible encombrement, je lui donne donc toutes mes faveurs.
vendredi 7 mars 2008
Emprunter par SMS
Il n'y a pas de petits profit mais là l'interaction avec les SMS a atteint un stade que je ne suivrai pas : proposer des micro crédits.
Le phénomène a débarqué en Suède et propose des micros crédits de 300€. Si on propose cela à un adolescent ou un étudiant (aux revenus ultra modestes), on revient à introduire le Diable chez lui.
En effet, pour notre belle jeunesse emprunter est un acte banal. Toutefois il ne faut pas oublier le pendant de l'obligation : rembourser. L'article de Boursorama est très intéressant sur ce point.
Pour ma part, le SMS conserve un bel avenir car je pense qu'il y a encore plein de choses à exploiter autour mais pas ce genre d'interactions qui conduiront à tuer la poule aux œufs d'or à savoir le consommateur.
Le phénomène a débarqué en Suède et propose des micros crédits de 300€. Si on propose cela à un adolescent ou un étudiant (aux revenus ultra modestes), on revient à introduire le Diable chez lui.
En effet, pour notre belle jeunesse emprunter est un acte banal. Toutefois il ne faut pas oublier le pendant de l'obligation : rembourser. L'article de Boursorama est très intéressant sur ce point.
Pour ma part, le SMS conserve un bel avenir car je pense qu'il y a encore plein de choses à exploiter autour mais pas ce genre d'interactions qui conduiront à tuer la poule aux œufs d'or à savoir le consommateur.
Inscription à :
Articles (Atom)