Voici l'édition n°24 de l'émission. Retrouvez aussi d'autres news sur WorldGSM
vendredi 26 septembre 2008
jeudi 25 septembre 2008
No limit chez T-Mobile
Alors que les CGV de T-Mobile à la veille de la sortie du G1 stipulaient que la limite du forfait data était de 1Go de données, cette dernière vient de disparaitre.
T-Mobile innove sur ce point car en France, SFR et Orange nous ont inventé le forfait illimité, limité à 500 Mo. Il est clair que cette ouverture, liée au fonctionnement même du G1 va ouvrir là voix à des forfaits adaptés.
Apparemment SFR et Vodafone seraient sur les rangs pour commercialiser le G1 en Europe. Allons nous voir des forfaits comme ceux de l'iPhone ou plus concurrentiels comme celui proposé par T-Mobile ?
T-Mobile innove sur ce point car en France, SFR et Orange nous ont inventé le forfait illimité, limité à 500 Mo. Il est clair que cette ouverture, liée au fonctionnement même du G1 va ouvrir là voix à des forfaits adaptés.
Apparemment SFR et Vodafone seraient sur les rangs pour commercialiser le G1 en Europe. Allons nous voir des forfaits comme ceux de l'iPhone ou plus concurrentiels comme celui proposé par T-Mobile ?
Source : TG Daily
mercredi 24 septembre 2008
C'est tout ce que j'aime
Non Mac Donald ne se lance pas dans la téléphonie bien qu'avec un réseau WiFi ouvert dans cette chaine de restaurants, on pourrait y passer ses appels avec un équipement adéquate que personne ne s'en soucierait.
Qu'attend-on réellement d'un téléphone sous Android ? Disposer de son compte Google dans son téléphone et de retrouver : GMail, Maps, Calendar, YouTube, Talk, et bien sur la fonction de recherche.
On avait cela et dans l'ordre avec un BlackBerry et un Nokia. Talk pouvant être relayée par eBuddy et search est intégrée dans de nombreux téléphones ou disponible en téléchargement. Vous l'aurez compris ces petits rien font déjà de grandes applications intégrées dans un téléphone sous Android.
On notera que "Contacts" qui est une composante de Gmail devient une application à part entière pour gérer en fait le répertoire du téléphone.
Ensuite, une fois connecté à votre compte Google, vous êtes relié permanence. Résultat une synchronisation immédiate se fait. Vous pouvez donc perdre votre téléphone et récupérer très vite vos données. La démonstration ne vous dit pas si le téléphone perdu pourra être complètement exploité et ses données effacées par un simple changement d'IMEI par exemple.
Cette vidéo très intéressante montre des capacités de convergence très intéressantes entre le WEB et le Mobile. reste à savoir comment les opérateurs pourront vous facturer toute cette débauche d'échange de données. Serez vous facturé au message envoyé via Talk alors que ce n'est pas un SMS ? la récupération du répertoire ne dépendant pas de la SIM vous sera-t-il facturé au prix de 0,50 centimes d'euro pour 10 contacts transférés ?
Dans cette optique, Google a mis la barre assez haut en dépouillant les opérateurs de revenus potentiels. Quoique... Je sens que ces derniers ne se laisseront pas faire et trouveront bien un moyen de vous faire payer tout cela (ce qui n'est pas forcément bon pour vendre le GPhone). Par ailleurs, faut-il être adepte des produits Google pour les apprécier.
Source : Official Google Mobile Blog
Qu'attend-on réellement d'un téléphone sous Android ? Disposer de son compte Google dans son téléphone et de retrouver : GMail, Maps, Calendar, YouTube, Talk, et bien sur la fonction de recherche.
On avait cela et dans l'ordre avec un BlackBerry et un Nokia. Talk pouvant être relayée par eBuddy et search est intégrée dans de nombreux téléphones ou disponible en téléchargement. Vous l'aurez compris ces petits rien font déjà de grandes applications intégrées dans un téléphone sous Android.
On notera que "Contacts" qui est une composante de Gmail devient une application à part entière pour gérer en fait le répertoire du téléphone.
Ensuite, une fois connecté à votre compte Google, vous êtes relié permanence. Résultat une synchronisation immédiate se fait. Vous pouvez donc perdre votre téléphone et récupérer très vite vos données. La démonstration ne vous dit pas si le téléphone perdu pourra être complètement exploité et ses données effacées par un simple changement d'IMEI par exemple.
Cette vidéo très intéressante montre des capacités de convergence très intéressantes entre le WEB et le Mobile. reste à savoir comment les opérateurs pourront vous facturer toute cette débauche d'échange de données. Serez vous facturé au message envoyé via Talk alors que ce n'est pas un SMS ? la récupération du répertoire ne dépendant pas de la SIM vous sera-t-il facturé au prix de 0,50 centimes d'euro pour 10 contacts transférés ?
Dans cette optique, Google a mis la barre assez haut en dépouillant les opérateurs de revenus potentiels. Quoique... Je sens que ces derniers ne se laisseront pas faire et trouveront bien un moyen de vous faire payer tout cela (ce qui n'est pas forcément bon pour vendre le GPhone). Par ailleurs, faut-il être adepte des produits Google pour les apprécier.
Source : Official Google Mobile Blog
Présentation du G1
Attendu pour ce jour, T-Mobile dévoile donc le G1, plus connu sous HTC Dream ou Gphone.
La vidéo de présentation ne montre que très peu de chose mais c'est déjà ça. Par contre, pas de date pour la véritable sortie grand public. Dommage.
Sources : PhoneAndroid.fr et frAndroid
La vidéo de présentation ne montre que très peu de chose mais c'est déjà ça. Par contre, pas de date pour la véritable sortie grand public. Dommage.
Sources : PhoneAndroid.fr et frAndroid
Google Maps à Big Apple
Il ne s'agit pas de l'arrivée de Maps dans le giron de la firme de Cuppertino ou d'une sombre histoire dans laquelle Steve Jobs vétu de son col roulé fétiche intégrerait Google.
Google lance tout simplement une version de Maps pour mobile dédiée à New York. Cette application a pour but d'aider le voyageur (résident à NY ou le simple touriste) à se repérer dans la ville mais aussi à prendre les transports en commun dans la bonne direction.
Une application qui en soi peut être "verte" dans la mesure où elle vous permet de traverser cette ville facilement sans utiliser la voiture ou un taxi. Vous l'aurez compris ce genre de version est intéressante pour toutes les grandes métropoles.
Elle ravira enfin tout le monde ou presque (voir le commentaire de cet article ;)), car il est annoncé qu'elle sera disponible pour les plate formes : Blackberry, Windows Mobile, Symbian Series 60, certains téléphones Java.
Google lance tout simplement une version de Maps pour mobile dédiée à New York. Cette application a pour but d'aider le voyageur (résident à NY ou le simple touriste) à se repérer dans la ville mais aussi à prendre les transports en commun dans la bonne direction.
Une application qui en soi peut être "verte" dans la mesure où elle vous permet de traverser cette ville facilement sans utiliser la voiture ou un taxi. Vous l'aurez compris ce genre de version est intéressante pour toutes les grandes métropoles.
Elle ravira enfin tout le monde ou presque (voir le commentaire de cet article ;)), car il est annoncé qu'elle sera disponible pour les plate formes : Blackberry, Windows Mobile, Symbian Series 60, certains téléphones Java.
Donc avec votre téléphone adoré lancez le browser sur : http://m.google.com/nyc
Source : Official Google Mobile Blog
lundi 22 septembre 2008
Technique rapide
Le monde de la mobilité connait bien le principe et l'iPhone a balayé ce dernier.
Je voulais vous entretenir de la technique de reconnaissance du User Agent. Chaque browser (butineur) qu'il soit sur votre PC ou sur un téléphone dispose d'un identifiant appelé User Agent. Au départ cela ne vous apporte pas grand chose mais les anciens du WEB connaissent bien cet élément. Du temps de Netscape, Mosaïque et Internet Explorer, l'implémentation des CSS et du Javascript était plus ou moins bien réalisé.
Un site de bonne qualité devait par conséquent disposer de divers cas (ou exceptions) suivant les capacités d'interprétation de chaque browser. Ainsi une feuille de style pouvait avoir le même rendu sur n'importe quel ordinateur.
Dans le monde de la mobilité, cette notion s'avère d'autant plus importante car il n'existe trois ou quatre grands browsers mais un par téléphone. Et pour bien faire, les constrcuteurs ont en sus assuré un affichage différents entre 2 modèles ayant la même résolution.
Les développeurs de nombre d'entreprise ne voulant plus ou ne sachant pas (la seconde solution est plus plausible) gérer une telle connaissance, ont avec l'iPhone vu le messie. Et pour bien faire, il leur a fallu créer un sous domaine sur le site qu'ils administrent. Résultat on voit de plus en plus de sites ayant pour URL : htpp://iphone.truc.ltd
Dans un monde idéal, il eut mieux valu, lorsqu'une requête http arrive sur un serveur, que les User Agent des iPhone (2G et 3G) soient reconnus. L'utilisateur n'aurait rien à taper hormis l'adresse "standard" d'un site et se verrait automatiquement dirigé vers le site adapté à son téléphone. Cela est même valable pour tous les téléphones. Mais bon je reste rêveur.
Je voulais vous entretenir de la technique de reconnaissance du User Agent. Chaque browser (butineur) qu'il soit sur votre PC ou sur un téléphone dispose d'un identifiant appelé User Agent. Au départ cela ne vous apporte pas grand chose mais les anciens du WEB connaissent bien cet élément. Du temps de Netscape, Mosaïque et Internet Explorer, l'implémentation des CSS et du Javascript était plus ou moins bien réalisé.
Un site de bonne qualité devait par conséquent disposer de divers cas (ou exceptions) suivant les capacités d'interprétation de chaque browser. Ainsi une feuille de style pouvait avoir le même rendu sur n'importe quel ordinateur.
Dans le monde de la mobilité, cette notion s'avère d'autant plus importante car il n'existe trois ou quatre grands browsers mais un par téléphone. Et pour bien faire, les constrcuteurs ont en sus assuré un affichage différents entre 2 modèles ayant la même résolution.
Les développeurs de nombre d'entreprise ne voulant plus ou ne sachant pas (la seconde solution est plus plausible) gérer une telle connaissance, ont avec l'iPhone vu le messie. Et pour bien faire, il leur a fallu créer un sous domaine sur le site qu'ils administrent. Résultat on voit de plus en plus de sites ayant pour URL : htpp://iphone.truc.ltd
Dans un monde idéal, il eut mieux valu, lorsqu'une requête http arrive sur un serveur, que les User Agent des iPhone (2G et 3G) soient reconnus. L'utilisateur n'aurait rien à taper hormis l'adresse "standard" d'un site et se verrait automatiquement dirigé vers le site adapté à son téléphone. Cela est même valable pour tous les téléphones. Mais bon je reste rêveur.
Après C3-PO voici les MPO
Juste après la sortie de Star Wars le pouvoir de la Force, voici un nouvel acronyme : MPO.
En fait, ce terme n'a strictement rien à voir avec un jeu obscure aux fonctionnalités délirantes. Il signifie tout simplement : Mobile Payment Operator. Peu usité en Europe, ce modèle est bien implanté en Inde et j'ai déjà croisé dans divers articles sur la Toile des solutions identiques pour le continent Africain.
Ces opérateurs permettent de réaliser des paiements avec votre mobile soit via la technologie du SMS soit avec une application Java.
La dématérialisation des paiements va s'accélérer quand le NFC sera implanté tant Europe qu'aux US. Les MPO ont sur ce point une bonne avance et une solution éprouvée. Le NFC risque d'en pâtir à terme. A suivre donc.
En fait, ce terme n'a strictement rien à voir avec un jeu obscure aux fonctionnalités délirantes. Il signifie tout simplement : Mobile Payment Operator. Peu usité en Europe, ce modèle est bien implanté en Inde et j'ai déjà croisé dans divers articles sur la Toile des solutions identiques pour le continent Africain.
Ces opérateurs permettent de réaliser des paiements avec votre mobile soit via la technologie du SMS soit avec une application Java.
La dématérialisation des paiements va s'accélérer quand le NFC sera implanté tant Europe qu'aux US. Les MPO ont sur ce point une bonne avance et une solution éprouvée. Le NFC risque d'en pâtir à terme. A suivre donc.
Source : Le paiement mobile
vendredi 19 septembre 2008
Quand Maps rencontre Street View
A chaque mise à jour, j'essaye de vous restituer au mieux ce que je pense des applications Google sur mon mobile. La dernière version de Maps est tout simplement bluffante et intègre Street View.
Pour découvrir Street View (vue de la rue), rendez-vous sur http://maps.google.com/ tapez Paris et vous aurez un bouton "Street view" sur la carte.
Sur votre téléphone, il faut commencer par télécharger la dernière version de Maps, de l'installer et de la lancer. Vous serez localisé sur l'antenne de téléphonie la plus proche de vous. Dans une grosse agglomération la précision est diabolique. Cliquez sur Rechercher, et saisissez "orange". Choisissez la "boutique orange" dans le 5ème arrondissement. La surprise qui vous attend fera votre bonheur et de quoi crâner à la cantine ou devant vos amis.
Cette version V 2.3.1 de Maps constitue une avancée majeure. D'une part elle me semble plus légère au téléchargement, plus rapide en terme d'affichage des cartes et avec l'apparition de Maps consommatrice de flux de données. Cela implique de bien faire attention à votre forfait "data".
Cette version est disponible pour les BlackBerry et la plupart des téléphones supportant le Java (possesseurs de Sony Ericsson allez-y !). Le tout est disponible en français, sil vous plait, à l'adresse suivante : http://google.com/gmm à saisir d'urgence sur votre téléphone.
Et comme d'habitude, la petite vidéo (en anglais) pour voir cela en action.
Pour découvrir Street View (vue de la rue), rendez-vous sur http://maps.google.com/ tapez Paris et vous aurez un bouton "Street view" sur la carte.
Sur votre téléphone, il faut commencer par télécharger la dernière version de Maps, de l'installer et de la lancer. Vous serez localisé sur l'antenne de téléphonie la plus proche de vous. Dans une grosse agglomération la précision est diabolique. Cliquez sur Rechercher, et saisissez "orange". Choisissez la "boutique orange" dans le 5ème arrondissement. La surprise qui vous attend fera votre bonheur et de quoi crâner à la cantine ou devant vos amis.
Cette version V 2.3.1 de Maps constitue une avancée majeure. D'une part elle me semble plus légère au téléchargement, plus rapide en terme d'affichage des cartes et avec l'apparition de Maps consommatrice de flux de données. Cela implique de bien faire attention à votre forfait "data".
Cette version est disponible pour les BlackBerry et la plupart des téléphones supportant le Java (possesseurs de Sony Ericsson allez-y !). Le tout est disponible en français, sil vous plait, à l'adresse suivante : http://google.com/gmm à saisir d'urgence sur votre téléphone.
Et comme d'habitude, la petite vidéo (en anglais) pour voir cela en action.
A voir : Official Google Mobile Blog
jeudi 18 septembre 2008
Air France embarque le Code 2D
Ça a fait la une de pas mal de quotidiens, de journaux télévision. Air France lance un service de carte d'embarquement électronique avec le Code 2D.
Jusque là c'est un portage de la technologie de code barre en 2 dimensions (Code 2D), apparemment au format Aztec code, reconnaissable au carré central. Pour mémoire ce type de code 2D permet de stocker : 3832 numéros or 3067 caractères alphabétiques ou 1914 bytes de données, le tout à la norme ISO-8859-1. Cette norme ne vous dit rien ? Il s'agit de nos bons vieux caractères alphabétiques.
J'ai adoré la vidéo de présentation. Comme dans les notices sous les sièges (sur lesquelles l'hôtesse de l'air sourit même en cas de dépressurisation ou si l'avion est dans l'eau), le personnel au sol sait pertinemment que vous utiliser le code 2D, tout le monde à des appareils pour reconnaitre ce carré illisible et comble de la technologie, même le steward à bord de l'avion peut le lire ! un miracle chez Air France, il y a des femmes et des hommes pouvant lire couramment le code Aztec.
Plus sérieusement, le principe est bien pensé. Restera juste à familiariser les utilisateurs et le personnel au sol et navigant de la compagnie aérienne.
Jusque là c'est un portage de la technologie de code barre en 2 dimensions (Code 2D), apparemment au format Aztec code, reconnaissable au carré central. Pour mémoire ce type de code 2D permet de stocker : 3832 numéros or 3067 caractères alphabétiques ou 1914 bytes de données, le tout à la norme ISO-8859-1. Cette norme ne vous dit rien ? Il s'agit de nos bons vieux caractères alphabétiques.
J'ai adoré la vidéo de présentation. Comme dans les notices sous les sièges (sur lesquelles l'hôtesse de l'air sourit même en cas de dépressurisation ou si l'avion est dans l'eau), le personnel au sol sait pertinemment que vous utiliser le code 2D, tout le monde à des appareils pour reconnaitre ce carré illisible et comble de la technologie, même le steward à bord de l'avion peut le lire ! un miracle chez Air France, il y a des femmes et des hommes pouvant lire couramment le code Aztec.
Plus sérieusement, le principe est bien pensé. Restera juste à familiariser les utilisateurs et le personnel au sol et navigant de la compagnie aérienne.
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