mardi 12 avril 2011
jeudi 24 février 2011
lundi 21 février 2011
Souscription dans les applications
Le 15/02/2011, Apple publiait un communiqué intéressant : la souscription d'un abonnement dans les applications.
On se doutait déjà que la firme de Cupertino préparait quelque chose, cependant, cette nouvelle peut mettre les opérateurs en colère.
D'un point de vue généraliste, une entreprise va pouvoir offrir un abonnement à ses utilisateurs. en soi le business est intéressant. Plus besoin de passer par le système de paiement de l'opérateur, tout passe par iTunes.
D'un autre côté, les opérateurs, qui proposent des services optionnels, ne pourront plus limiter leur applications aux clients n'ayant pas telle ou telle option sans "offrir" le mécanisme de souscription d'iTunes.
Par ailleurs, comment déterminer qui est déjà inscrit et qui est un nouveau souscripteur ? Il faudra échanger les données. Chose qu'un opérateur refusera logiquement. Il ne va pas transmettre à sa base de clients à Apple.
Côté revenus, Apple conserve sa stratégie 70/30, alors que son concurrent Google ne conserve que 10%.
Alors que The National Enquirer publiait une information indiquant que Steve Jobs serait aux portes du Paradis, sa société croit fermement que le Walhalla des applications et une main mise sur toute la chaine de publication les rendra maitres du monde de la mobilité.
Ce sera peut être le tour d'honneur de Steve avant de tirer sa révérence.
On se doutait déjà que la firme de Cupertino préparait quelque chose, cependant, cette nouvelle peut mettre les opérateurs en colère.
D'un point de vue généraliste, une entreprise va pouvoir offrir un abonnement à ses utilisateurs. en soi le business est intéressant. Plus besoin de passer par le système de paiement de l'opérateur, tout passe par iTunes.
D'un autre côté, les opérateurs, qui proposent des services optionnels, ne pourront plus limiter leur applications aux clients n'ayant pas telle ou telle option sans "offrir" le mécanisme de souscription d'iTunes.
Par ailleurs, comment déterminer qui est déjà inscrit et qui est un nouveau souscripteur ? Il faudra échanger les données. Chose qu'un opérateur refusera logiquement. Il ne va pas transmettre à sa base de clients à Apple.
Côté revenus, Apple conserve sa stratégie 70/30, alors que son concurrent Google ne conserve que 10%.
Alors que The National Enquirer publiait une information indiquant que Steve Jobs serait aux portes du Paradis, sa société croit fermement que le Walhalla des applications et une main mise sur toute la chaine de publication les rendra maitres du monde de la mobilité.
Ce sera peut être le tour d'honneur de Steve avant de tirer sa révérence.
lundi 7 février 2011
Les mises à jour en question
Sur Facebook, Sony Ericsson annonçait qu'une partie de sa gamme Xpéria n'aurait plus de mise à jour vers un OS supérieur sur Android.
Effet pervers des réseaux sociaux, les commentaires ont fusé. Pas forcément dans le bon sens selon moi. En effet, il fallait avoir le courage de la part du constructeur de dire ouvertement la chose contrairement à HTC qui répond aux utilisateurs de manière laconique (voir les commentaires sur le sujet via Google en tapant par exemple "Tattoo, mise à jour").
Plus profondément, il faut bien se rendre compte qu'une mise à jour n'est pas une simple implémentation d'un OS dans un téléphone mais bien une activité qui mobilise une équipe complète. De ce fait, et le matériel vieillissant, il ne faut pas maintenir une équipe pour un produit. La solution, et elles est valable chez tous les constructeurs (LG, Samsung, Motorola, HTC...), est de stopper les développements et se concentrer sur les nouveaux produits.
En reprenant les téléphones existants depuis un an et demi, le Samsung Spica, le Motorola Dext par exemple, ne sont jamais passés en Android 2.1. Personne ne pleure cet état de fait.
Pour se consoler, on peut aller sur XDA et trouver le moyen d'upgrader le firmware de son mobile. A quoi bon quand on est pas spécialiste ?
J'en viens au final à montrer qu'Android atteint une limite que l'iOS dissipe : avec plusieurs constructeurs et diverses spécifications techniques pour chaque mobile, chaque évolution de l'OS ne peut être implémentée partout.
Cela a été appliqué par Apple d'une manière beaucoup plus radicale : l'iPhone de première génération ne supporte pas le nouvel OS, le second devient lent, les 2 derniers de la gamme acceptent l'évolution.
Aussi, le courage de Sony Ericsson en terme de communication est intéressant et en même temps, montre qu'en informatique, le temps s'accélère et que le matériel ne peut pas suivre l'évolution logicielle. A l'échelle d'un appareil aussi personnel qu'un mobile, la compatibilité logicielle/matériel est plus criante que sur un PC ou vous ferez tourner Windows Seven sur bon nombre de machines même assez anciennes. Il faut donc à un moment savoir s'arrêter.
J'ai un bon vieux HTC Tattoo comme mobile personnel et je vous dirai que je ne me plains pas de la version 1.6 d'Android. L'important étant que je puisse passer et recevoir des appels. Pour le reste, je patienterai tranquillement comme Monsieur et Madame Michu pour disposer d'un nouveau mobile.
Effet pervers des réseaux sociaux, les commentaires ont fusé. Pas forcément dans le bon sens selon moi. En effet, il fallait avoir le courage de la part du constructeur de dire ouvertement la chose contrairement à HTC qui répond aux utilisateurs de manière laconique (voir les commentaires sur le sujet via Google en tapant par exemple "Tattoo, mise à jour").
Plus profondément, il faut bien se rendre compte qu'une mise à jour n'est pas une simple implémentation d'un OS dans un téléphone mais bien une activité qui mobilise une équipe complète. De ce fait, et le matériel vieillissant, il ne faut pas maintenir une équipe pour un produit. La solution, et elles est valable chez tous les constructeurs (LG, Samsung, Motorola, HTC...), est de stopper les développements et se concentrer sur les nouveaux produits.
En reprenant les téléphones existants depuis un an et demi, le Samsung Spica, le Motorola Dext par exemple, ne sont jamais passés en Android 2.1. Personne ne pleure cet état de fait.
Pour se consoler, on peut aller sur XDA et trouver le moyen d'upgrader le firmware de son mobile. A quoi bon quand on est pas spécialiste ?
J'en viens au final à montrer qu'Android atteint une limite que l'iOS dissipe : avec plusieurs constructeurs et diverses spécifications techniques pour chaque mobile, chaque évolution de l'OS ne peut être implémentée partout.
Cela a été appliqué par Apple d'une manière beaucoup plus radicale : l'iPhone de première génération ne supporte pas le nouvel OS, le second devient lent, les 2 derniers de la gamme acceptent l'évolution.
Aussi, le courage de Sony Ericsson en terme de communication est intéressant et en même temps, montre qu'en informatique, le temps s'accélère et que le matériel ne peut pas suivre l'évolution logicielle. A l'échelle d'un appareil aussi personnel qu'un mobile, la compatibilité logicielle/matériel est plus criante que sur un PC ou vous ferez tourner Windows Seven sur bon nombre de machines même assez anciennes. Il faut donc à un moment savoir s'arrêter.
J'ai un bon vieux HTC Tattoo comme mobile personnel et je vous dirai que je ne me plains pas de la version 1.6 d'Android. L'important étant que je puisse passer et recevoir des appels. Pour le reste, je patienterai tranquillement comme Monsieur et Madame Michu pour disposer d'un nouveau mobile.
jeudi 30 décembre 2010
Pajes Jaunes sur mobile
Dans l'émission de RMC "de quoi j'me mail" Julien Billot, directeur général adjoint chez Pages Jaunes (voir article dédié à PJ) nous livre sa version du futur de l'annuaire sur mobile.
Pour mémoire, Juline Billot a été directeur marketing chez Orange. Il a beaucoup cru dans les applications sur mobile et reste sur sa pensée.
Une très bonne interview à écouter.
Pour mémoire, Juline Billot a été directeur marketing chez Orange. Il a beaucoup cru dans les applications sur mobile et reste sur sa pensée.
Une très bonne interview à écouter.
mardi 14 décembre 2010
lundi 13 décembre 2010
Fnac Book, une autre manière de lire
Ça faisait un petit moment que je m'étais intéressé aux eBook. Depuis le premier modèle de Sony, puis le Kindle, je m'interrogeais sur l'opportunité de posséder un tel objet.
Cependant quand votre bibliothèque disparaît parce que la pièce dédiée devient une chambre d'enfant, il faut se rendre à l'évidence. Le livre numérique apporte la solution. Tel fut mon cas et j'en suis bien content.
Après le battage médiatique autour de la sortie du Fnac Book, notamment dans l'émission "de quoi je me mail" sur RMC, j'ai donc eu le plaisir ce week end de posséder l'engin.
Doté d'une connexion 3G en partenariat avec SFR, et du WiFi, l'objet navigue rapidement sur des pages légères et dédiées. Quoi de plus plaisant. Quant à la facilité de lire un ouvrage. C'est déconcertant. Que ce soit dans le lit ou dans le métro, la fatigue oculaire n'existe pas. Enfin, tout dépend du nombre de pages lues ;)
Le Fnac Book est donc un objet communiquant, facile à utiliser et à transporter. Il se connecte à Internet quand c'est nécessaire et non en permanence ce qui en soi est appréciable.
En somme, un bon moyen de compiler sa bibliothèque et le futur moyen de lecture pour nos enfants. C'est aussi un moyen de lire et d'acheter des livres en mobilité.
mardi 23 novembre 2010
Mises à jour X10 et X10 mini
Annoncé sur sa page Facebook, les Sony Ericsson X10, X10 mini et mini pro supporteront Android 2.1 (Eclair).
Les premiers servis seront les mobiles Bouygues (15/11), puis Orange (19/11) et enfin SFR (fin novembre).
Tous les tutoriels sont sur cette page Facebook.
Les premiers servis seront les mobiles Bouygues (15/11), puis Orange (19/11) et enfin SFR (fin novembre).
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