lundi 5 décembre 2022

Retour sur une phrase

 Récemment j'ai reçu le message d'un vieil ami et ancien collègue qui maintenant est un photographe talentueux.

Il m'écrivait ceci : "J'avais souvent pensé à toi pour ta réflexion visionnaire sur le devenir des infos "mobiles". Tu avais raison il y a 20 ans, tu as bien senti le besoin et le marché !"

A l'époque... en 2000, jusqu'à 2002, nous étions dans la même start up. Nos bureaux l'un en face de l'autre au 3ème étage d'un bel immeuble.

Déjà, je parlais ergonomie, mobile, QR code, PDA... Les premiers sites pour les mobiles. Ce que serait la téléphonie du futur. 

Il a fallu 13 années pour que cet ensemble entre dans nos vies totalement. Maintenant la bataille se fait sur la qualité et la vitesse des réseaux. 5G maintenant, et la prochaine norme ? Qu'en fera-t-on ? Si déjà le commun des mortels dont je fais parti, exploitait pleinement le potentiel de son mobile. Entre le développement des applications, leur mise en service et leur réelle utilité. A part jouer, regarder des vidéos quels sont les nouveaux usages ? Madame Michu dirait qu'elle utilise l'agenda, fait ses mails, utilise le réveil, la calculatrice et l'appareil photo.

Parlons en de ce dernier. Oui, l'évolution technique fait que nous avons des prises de vue magnifiques. Loin des premières prises de vue d'un Nokia 6600 (oui c'est arbitraire). Sainte IA vient aider maintenant à rendre nos clichés plus attrayant, nous faisant passer pour des professionnels, tant que l'on n'utilise pas de filtres (la force de Snapchat et Instagram).


Que dire de l'utilisation du NFC (Near Field Communication)... Normes et usages découverts pour ma part en 2008. On s'en sert pour les paiements, en théorie, on devrait pouvoir l'utiliser pour les transports mais seule la marque Samsung est d'usage pour le moment à la RATP.  On devrait déjà pouvoir mettre le badge de l'entreprise dans nos mobiles, celle de la cantine. En gros tout ce qui tourne autour de ce que l'on insère dans un portefeuille : le wallet en angais (ça fait plus classe de mettre un mot anglais). Je vous rappelle que ce wallet a fait l'objet d'évolution chez Google. Un temps en deux applications puis dans une seule...

Je pense souvent aux romans de Peter F. Hamilton. Sa description du futur et notamment de l'utilisation des réseaux est intéressante. Loin d'un délire, c'est surtout très juste. Des humains augmentés ou simplement des lentilles permettant de posséder des moyens de communication rapides et instantanés avec le reste du Réseau. Elon Musk en parlait dans sa présentation sur Neralink, en tant qu'espèce, il faudra tenir son rang face à l'IA.

Personnellement, je pense que nous pouvons être aussi bon qu'une IA si on s'en donne la peine et si l'on entraîne bien son cerveau.

Aussi, les prochaines années iront sur une maîtrise des réseaux, une meilleure utilisation de la personnalité (le portefeuille numérique alliant pièce d'identité et de paiement), et humain augmenté, même si ce point ne me plait pas.


vendredi 6 mai 2022

J'ai pris un Chromebook

Lenovo IdeaPad Duet 10.1

Contexte

Je me suis posé longuement la question : est que j'ai besoin d'une tablette ou d'un Chromebook ? Mes usages actuels font que je n'allume plus mon PC et qu'une tablette ne remplit pas tous mes besoins.

Il me fallait donc un compromis entre les 2. Je suis pourtant possesseur d'une tablette ASUS P028 mais qui date. Pas de mise à jour de l'OS (sic) et je ne me voyais pas investir énormément dans une  nouvelle avec l'achat d'un clavier en plus.

Le choix

Donc j'ai opté pour un Chromebook. Simple, rapide, efficace avec suffisamment de stockage et pas cher. On trouve de tout et avec des configurations variées. Du AMD, de l'Intel, SSD ou juste 64 Go de mémoire... 14 ou 15 pouces... Bref... Je ne voulais qu'un petit Chromebook pour mon usage quotidien.

L'IdeaPad Duet  10.1 de Lenovo m'apporte cela. Un petit Mediatek pour propulser la machine, un clavier amovible et 128Go de stockage.

Usage au quotidien

Son encombrement est faible. Léger et protégé par le clavier d'un côté et une couverture magnétique au dos. C'est sans fioriture. Le clavier est de bonne facture. On trouve le même que pour un iPad ou d'autres tablettes Android. Juste la touche "m" qui est pus petite que les autres.
A part le Bluetooth, juste un port USB-C qui sert aussi pour le chargeur. La simplicité même.
Je l'en sers au bureau ou comme second écran et c'est largement suffisant.
Tant que j'ai accès à Drive, à la suite Office qu'ai je besoin de plus ?
Pour jouer ? Mon téléphone est là.

Ah oui, j'allais oublier cela. La connectivité avec mon mobile. On ne passe pas encore les appels avec mais les SMS passent bien. Pour le reste.

Je pense avoir trouvé le bon compromis : Chrome en mode ordinateur et non tablette comme proposé sur mon ASUS P028, l'usage d'un PC sans en être un avec un écran tactile.
Je vais donc découvrir plus les applications de bureautique dites de productivité avec.

Si vous rechercher ce compromis sans trop vous ruiner aux alentours de 300€, c'est un bon choix.

Différents blogs parlent des caractéristiques techniques et de leur ressenti. Je tenais plus à vous exprimer mon ressenti sachant que j'utilise de manière avancée mes machines. Là Je ne cherche pas à bidouiller. Juste utiliser ma machine. Ce serait le bon compromis aussi pour les plus âgés que l'informatique rebute. Point de customisation, juste un navigateur, des applications simples.

jeudi 14 avril 2022

Mauvais DEAL

Récemment, j'ai voulu prendre un RED Deal proposé par SFR RED. Cela semnlait génial. 100Go, appels illimités... pour 15€ par mois et un téléphone Redmi note Pro 10.

Qu'à cela ne tienne, je vais sur le site, je mets les coordonnées, j'upload ma carte d'identité, je fais en plus une portabilité de mon numéro Free mobile vers RED. De quoi être heureux.

Je reçois la confirmation que mon compte est créé et que ma commande va être validée. Je suis confiant... ou presque. Je note au passage que je dois télécharger l'application RED (qui se connecte tout le temps...)

Au bout de 48h je reçois un mail m'informant que ma demande d'abonnement, oui le RED Deal en question est une offre d'engagement de 24 mois est... rejetée. Même pas un mot pour expliquer pourquoi. Juste un refus.

Je retente et via l'application RED je demande si ça va passer. Je me fais appeler et je suis baladé entre le service commercial, le service client, le service commande... Personne ne sait pourquoi ça bloque et si ma seconde commande va passer. Rien. Aucun outil, même pas un rappel pour une commande abandonnée. En gros, ça ne leur semble pas grave de perdre un client potentiel. Ou alors ils ont dû déjà faire leur chiffre d'affaire.

Ce que je ne comprends pas, c'est que dans un marché hyper concurrentiel où le captage de client est important, on se fout des possibles nouveaux entrants. Ma déception est là, une belle opportunité râtée, et surtout avant de basculer vers un nouvel opérateur dites vous bien que le parcours pour en changer n'est pas de tout repos et que ce n'est pas gagné.

Alors RED, riposte à Free Mobile... il y a encore un écart.

Merci par contre aux personnes qui ont pu me répondre chez RED, aimables mais on les sent démunies. Leur patron devrait investir pour qu'ils puissent disposer d'outils leur permettant de forcer ce genre de cas.

samedi 17 février 2018

Nokia le Phénix

(Article invité, rédigé par @mobiwizz)
Crédits : m.p.3 (Flickr, CC)
L'arrivée du smartphone et sa démocratisation a chamboulé Nokia, le groupe finlandais constructeur de téléphone. Au point que le champion des mobiles a perdu sa place de leader, peu après la révélation de l'iPhone en 2007. Avec, dans le paquet cadeau, un tout nouveau système d'exploitation et une nouvelle expérience : iOS.
Sans doute dans un réflexe de survie, les constructeurs les plus avisés ont embrayé le pas du changement et se sont mis à adopter Android (Google), d'abord timidement puis sans vergogne. Ainsi des marques fortes ont émergé, imposé leur voix ainsi que celle de Google dans le monde du mobile : HTC, Samsung, LG... plus récemment Huawei, OnePlus et j'en passe. 
En même temps le taux d'équipement a explosé, dépassant celle des PC. Aujourd'hui, un humain possède en moyenne 2 mobiles.

Alors Nokia dans tout ça ?

En 2007, la première réaction a été de ne pas lâcher son système d'exploitation : Symbian. Mal lui en a pris car il se retrouvait le seul à l'utiliser, et ce dernier a eu du mal à se mettre au niveau des propositions d'iOS et d'Android.
Puis Nokia a tenté de bâtir un nouveau système d'explotation. C'était Maemo, puis Meego, portant l'idée d'un système d'exploitation multiplateforme, comprendre mobile, netbook, etc. Pas plus de succès au tournant, à part Nokia il n'y a pas eu d'initiatives d'embarquement par d'autres constructeurs. Nokia manquait de contre point de vue pour faire évoluer un système "propriétaire" et peu diffusé. Et pendant ce temps, iOS et Android grapillaient des parts de marché pour devenir ultra-majoritaires, par le biais d'une nouvelle plateforme : la tablette (2010).
Par la suite, Nokia a joué la carte Windows Mobile. Au départ cette proposition se faisait en parallèle d'autres terminaux de la marque embarquant Android (gamme X). Puis lors du rachat de Nokia par Microsoft en 2013, l'association est devenue exclusive (gamme Lumia). Mauvais choix car le système d'exploitation de Microsoft n'a jamais réussi à relever le défi, perdu d'avance, de la domination d'iOS et d'Android. La descente aux enfers n'a été que plus rapide.

A l'instar de ce que fait Nintendo depuis des décennies, Nokia a finalement compris qu'il pouvait jouer sur sa légende, remué la fibre des nostalgiques et peut-être même les reconquérir. Ces trentenaires avaient désormais un pouvoir d'achat, n'auraient plus à se poser la question de l'autonomie et pourraient répondre au rappel de leurs jeunes années, à un temps où un téléphone ne servait qu'à téléphoner, envoyer des messages, jouer à Snake à des heures perdues.
C'est ainsi que Nokia a eu l'idée de génie de ressortir l'un de ses modèles phares, le 3310

Nokia, enfin de retour aux sources, reprise en main par une startup finnoise HMD Global (Home of Nokia Phones), ne s'est pas arrêtée en bon chemin. Quelques nouveaux modèles ont surfé sur la vague de renaissance et ont été bien accueillis par le public.
Si bien qu'au quatrième trimestre 2017, Nokia est déclarée 4ème marque en termes de ventes mondiales. 10 ans après la sortie de l'iPhone et le début de ses ennuis.

Un beau retour gagnant pour une marque qui le mérite :)

mercredi 25 janvier 2017

Mon Xperia S sous Marshmallow

Sorti en Janvier 2012, ce téléphone haut de gamme pour l'époque disposait de ce qu'il y avait de mieux en terme de processeur et de capacité mémoire.

Il a connu 3 version d'Android de Gingerbread à Jelly Bean. Seulement voilà, Sony n'a pas voulu aller plus loin. Pas de mise à jour supplémentaire, obsolescence volontaire(ment) programmée au niveau logiciel.

Lollipop aurait été bien dessus, et Marshmallow... Et bien non, trop long à faire, à travailler, à entendre les constructeurs et pas que pour mon mobile, une telle intégration demande des ressources (beaucoup ?). C'est surtout un moyen de signifier aux clients qu'il est temps de changer de mobile.

J'ai dit "non" à cette fin programmée, cette mise au placard (ou à la poubelle spéciale) de mon téléphone qui m'a souvent accompagné.

Une petite recherche sur Internet et le miracle apparu. Marshmallow soit Android 6 était installable ! Une révolution. Restait à savoir si cela allait fonctionner.

En suivant bien les tutoriels, je peux vous dire aujourd'hui que oui, ça fonctionne et parfaitement même. J'avoue avoir un peu cafouillé lors de la ré allocation de la partition pour fusionner les 32Go non plus considérés comme externes mais internes. Cependant le résultat est là.

Un vieux mobile remis au goût du jour, supportant parfaitement le nouvel OS et une version épurée des Google Apps avec juste l'essentiel (du moins ce dont j'ai besoin dessus).

Prochain challenge, installer ce même OS sur mon Sony Ericsson Neo.

Voici la liste des liens qui m'ont permis de réaliser cela :
https://www.xda-developers.com/how-to-install-twrp/
https://forum.xda-developers.com/xperia-s/general/guide-partitioning-r1-version-pure-aosp-t3279721
https://www.youtube.com/watch?v=h6IU2-QcVD8
https://www.youtube.com/watch?v=K9u_0iSWwGo















vendredi 30 décembre 2016

L'IA dans nos smartphones...

L'IA pour Intelligence Artificielle, est en passe d'arriver dans nos téléphones.

Pour les rendre intelligents, certes. Mais nous pauvres utilisateurs, moins.

Le temps de la lecture, de l'apprentissage de diverses langues et connaissances est-il en train de se terminer ?

En effet, lorsque les IA prendront pleinement leur essor, les utilisateurs les plus basiques vont devenir dépendant des machines. Le savoir, l'organisation du temps, les traductions, la lecture, seront abandonnés aux machines toutes puissantes, toutes savantes.

N'oublions pas une chose : c'est le génie humain qui a créé l'IA et pas l'inverse. Ceci, implique pour moi que l'humain doit se forcer à être encore et toujours meilleur que sa créature. Il serait fou selon moi de se laisser dominer.

L'IA doit être utilisé comme moyen supplémentaire, non comme un robot qui nous rendrait plus fainéant.

Et pourtant, Microsoft, Google, Amazon, Apple, IBM vont se lancer dans ce grand bon technologique sans savoir s'ils pourront arrêter leurs créatures.

Vous allez me dire et je le sens que je suis contre l'IA. Je suis pour une utilisation intelligente de ce que nous créons et pas l'inverse. L'IA doit aider l'humain dans la recherche fondamentale, la médecine, l'agriculture... mais pas à réduire les humains en état de légume dépendant.

Le génie humain a grandit et s'est développé pour que nous puissions avoir les connaissances actuelles et nous continuons à créer des choses. Serions à un tournant de l'homo sapiens vers l'homo numericus dont j'ai souvent parlé. Mais cet être humain devra se transformer une fois de plus pour être supérieur à sa création sous peine de se voir anéantir par elle.

José Rodrigues dos Santos dans son livre La formule de Dieu nous livre une fin du Monde avec ce que que devra faire l'IA. Je crois personnellement que cette fin est bonne et que l'on recherchera toujours à atteindre une forme éternelle quelque soit l'univers.

Aussi pour 2017, les IA seront à leur début et envahiront nos vies, à vous de les dominer et ne leur donner que ce dont vous vous sentirez capables d'offrir mais ne leur donnez pas tout.

dimanche 16 octobre 2016

Le futur des applications mobiles ? Du service d'abord

(Article invité, rédigé par @mobiwizz)
App Icon Grid


Ayant frayé dans le monde des télécommunications puis des médias, j'ai pu observer l'essor des applications mobiles, et plus récemment d'autres canaux que sont les chatbots, la réalité virtuelle, les objets connectés, les robots, etc.
Une conviction forte s'en détache : les applications mobiles qui cartonnent sont d'abord des services. Et demain (voire même aujourd'hui pour certains) ces services peuvent vivre en dehors des applications.

L'erreur que beaucoup continuent à faire, tout secteur confondu : utiliser l'appli comme une copie conforme d'autres supports pré-existants (site web,...).  
Alors qu'aujourd'hui, un site responsive peut répondre à la promesse de l'accessibilité de contenu/fonctionnalités sur les terminaux mobiles, la valeur ajoutée d'une application réside dans ce qui va créer de l'adhésion (stickyness) et de la fidélisation.

Une marque peut paraître forte, si elle ne rend pas service et si ses points de contacts ne sont pas de qualité, le zapping peut être rapide et fatal.
C'est d'autant plus vrai pour les applications, je vous laisse lire les commentaires sur les stores pour en juger.

Une application mobile est un concentré de fonctionnalités propres, souvent fermée ou peu communicante.
Le changement de paradigme vient du fait de penser l'application mobile comme un système ouvert, communicant avec d'autres éléments extérieurs tout en restant simple et efficace sur ses fondamentaux.

Un exemple bien connu de tous : l'application Google Maps.
Elle propose quelques fonctionnalités (cartographie, localisation et géolocalisation, itinéraire) qui sont intégrables dans n'importe quelle application tierce via une librairie.
L'usage de base est dans l'application hôte et est contextualisé, tandis que l'usage augmenté se fera dans l'application Google Maps, plus riche fonctionnellement (turn-by-turn, cartographie augmentée, points d'intérêts, etc).
Toutes les requêtes faites par l'application hôte sur la partie Maps sont comptabilisées par Google.

Il n'y a pas de perte de valeur pour Google Maps. En effet, ils s'appuyent sur un business model basé sur la collecte de données et sur la vente de son service en freemium (gratuit jusqu'à un certain nombre de requêtes). Cela favorise par ailleurs la notoriété de son service et l'attraction vers son application en propre, sans que cela ne soit une obligation.

Pour citer quelques exemples emblématiques, Facebook, Twitter, Uber, Deezer, Yahoo, LinkedIn ont développé des approches similaires et leurs fondamentaux continuent à être assurées par leurs applications.
Dans cette perspective, l'application est un canal, lorsque le service n'est pas cantonné à une forme

En cela, l'agilité et la notion particulière de récit utilisateur permettent de mieux mettre en lumière le service que va rendre telle ou telle fonctionnalité, et de simplifier le parcours en fonction du canal.

L'étape ultime est donc définir l'opportunité que peut apporter le service au sein d'une offre dédiée à chaque support, dans ses propres canaux et dans des écosystèmes tiers. Attention : tous les services ne s'y prêtent pas forcément !

Et vous, si vous deviez reprendre une app mobile, quels services en feriez-vous ?

dimanche 27 septembre 2015

"Réalité Virtuelle : média du futur ou effet de mode ?"

(Article invité, rédigé par @mobiwizz



Aujourd'hui, les smartphones font partie de l'équipement basique d'un kit de réalité virtuelle tel que Google Cardboard ou Samsung Galaxy Gear VR.
Pour un prix beaucoup plus abordable, ils viennent concurrencer sérieusement d'autres casques complets comme Microsoft Hololens, HTC Vive et j'en passe.


Le 17 septembre dernier, j'ai eu l'opportunité de participer au #CafeNParis dédié à la réalité virtuelle "Média du futur ou effet de mode". A l'occasion j'ai testé moi-même un Galaxy Gear VR.

Je crois au potentiel narratif différent que la réalité virtuelle pourrait amener. Il ne s'agit plus de voir, mais de vivre cette réalité virtuelle. Sa virtualité peut se rapprocher de la vérité, et permet de se projeter.

Quelques phrases relevées lors de cet échange très riche avec des passionnés et des professionnels :





Les slides de @MaisOuvaLeWeb
Avec des casques à un prix de départ à $99 (moins de 100€), la réalité virtuelle peut s'imposer comme extension et révolution du mobile. L'avenir nous le dira.

mardi 9 septembre 2014

#Applelive en très très bref ... et en Tweets !

(Article invité, rédigé par @mobiwizz

Apple CEO Tim Cook

L'évènement #AppleLive revu en quelques tweets... 
 
et vous, que retenez-vous de cette keynote ?  

A lire aussi : Après le mobile, haro sur la montre connectée ? 

samedi 6 septembre 2014

Après le mobile, haro sur la montre connectée ?

(Article invité, rédigé par @mobiwizz)

Omega Speedmaster Professional and Pebble Smart Watch

On associe facilement la notion de mobilité à la légèreté, la simplicité, la compacité. La montre se porte naturellement au poignet, elle est par essence l'accessoire "portable" que nous arborons depuis des lustres.
Grâce à l'insertion de l'électronique, la montre fait plus que présenter l'heure (montres espions, montres gadgets).
Sa connectivité lui confère désormais des possibilités qu'on ne cesse d'imaginer...




Le prochain événement Apple se déroulera le 9 septembre. Comme à chaque fois, son lot de rumeurs précède. Parmi elles : l'arrivée de l'iWatch, le concept de montre connectée (ou smartwatch) par la marque à la pomme.
Si tel était le cas, elle serait promise à un vrai succès. Apple est sans conteste l'entreprise reine du design et de l'expérience dans le monde de la mobilité, ce qui pour une montre connectée peut s'avérer gagnant. Apple a ainsi récemment annoncé le recrutement d'un nouveau designer spécialiste des objets, et la rumeur lui attache la co-responsabilité du design de l'iWatch.

Il y a plus d'un an, Samsung a proposé un modèle de montre, avec la volonté de s'inscrire comme pionner technologique avec Sony et Peeble. J'ai eu le loisir de tester la Samsung Galaxy Gear. Non seulement, je l'ai trouvé très peu esthétique, l'expérience de toucher était loin d'être agréable et la navigation pas assez fluide.
Je me retrouvais devant un double "walled garden" : un nombre d'applications compatibles ridiculement faible et un nombre de terminaux mobiles confinant à l'exclusivité.
Samsung Galaxy Gear smartwatch
Samsung Galaxy Gear + Samsun Galaxy Note 3


Depuis, Samsung a revu ses plans, livré 2 nouvelles propositions lors du dernier Mobile World Congress: la Gear 2 et la Gear Fit. Cette dernière est vraiment très sexy...
Samsung Galaxy S5 with Gear Fit smartwatch
Samsung Gear Fit


Les facteurs de succès des montres connectées ? J'en vois quelques-uns :
  • dépendance ou indépendance vis-à-vis du smartphone
  • autonomie
  • design
  • fonctionnalités et applications

Les bases sont établies, le match peut désormais commencer. Attendons la proposition d'Apple. D'ici là, savourons celle faite par Motorola qui, de mon point de vue, est la plus esthétique des montres connectées du moment :


MAJ : l'Apple Watch a bel et bien été annoncée, sortie prévue courant 2015 en 2 tailles, et les 1ères spécifications techniques et de design des applications sont disponibles.


(Crédits Photo : Omega Speedmaster Professional and Pebble Smart Watch - Albert Lynn
Samsung Galaxy Gear smartwatch
- Kārlis Dambrāns
Samsung Galaxy S5 with Gear Fit smartwatch - Kārlis Dambrāns)

(Retrouvez-moi sur Twitter : @mobiwizz)