Enfin une bonne nouvelle pour les internautes et les utilisateurs d'iPod et iPhone. Apple supprime donc les DRM sur les musiques vendues via iTunes et baisse les prix.
Double nouvelle. D'une part j'ai toujours trouvé désagréable ce système de DRM, complexe à gérer selon les modèles de téléphones. En effet, selon les modèles et la demande des ayants droits, on peut passer du simple forward lock au separate delivery. En gros : le premier vous empêche de transférer les morceaux et le second envoie les DRM une fois le fichier son reçu. Sachant qu'entre temps tous les téléphones du marché n'accèptent pas les DRM de la même manière.
Ainsi, cette fuite vers la fin des DRM et une ouverture massive des catalogues et des chansons à bas prix vont entrainer selon moi une dynamique et redonner un coup de fouet aux téléchargements légaux sur tous les supports.
Par contre nous risquons de voir comme ce fut le cas par le passé à un alignement des plate formes françaises de téléchargement sur les prix pratiqués par iTunes mais avec une parité dollars / euros. Le consommateur final restera donc une immense vache à lait.
Point intéressant, enfin, les prix baissent pour les full tracks, mais qu'en est-il pour les sonneries ? Rappelez vous qu'un morceau téléchargé sur iTunes doit être retaillé et repayé par l'utilisateur pour qu'il devienne une sonnerie de télépomme.
Double nouvelle. D'une part j'ai toujours trouvé désagréable ce système de DRM, complexe à gérer selon les modèles de téléphones. En effet, selon les modèles et la demande des ayants droits, on peut passer du simple forward lock au separate delivery. En gros : le premier vous empêche de transférer les morceaux et le second envoie les DRM une fois le fichier son reçu. Sachant qu'entre temps tous les téléphones du marché n'accèptent pas les DRM de la même manière.
Ainsi, cette fuite vers la fin des DRM et une ouverture massive des catalogues et des chansons à bas prix vont entrainer selon moi une dynamique et redonner un coup de fouet aux téléchargements légaux sur tous les supports.
Par contre nous risquons de voir comme ce fut le cas par le passé à un alignement des plate formes françaises de téléchargement sur les prix pratiqués par iTunes mais avec une parité dollars / euros. Le consommateur final restera donc une immense vache à lait.
Point intéressant, enfin, les prix baissent pour les full tracks, mais qu'en est-il pour les sonneries ? Rappelez vous qu'un morceau téléchargé sur iTunes doit être retaillé et repayé par l'utilisateur pour qu'il devienne une sonnerie de télépomme.