Pendant que LG et sa montre téléphone (ou l'inverse) font les choux gras en terme de buzz pendant le CES 2009, voici une étude de style qui rejoint le concept cité.
Toutefois, l'appareil reste un vrai téléphone. L'avantage de ce concept réside dans l'utilisation de la souplesse des matériaux qui transforme le téléphone en bracelet. Résultat le téléphone devient un "bijou". Remarquez vu le prix d'un mobile seul, on peut les qualifier ainsi ;)
Source : Yanko Design
jeudi 15 janvier 2009
mercredi 14 janvier 2009
La loi de Pareto et la mobilité
Le principe de Pareto, transformé par Joseph Juran et appliqué à l'économie est-il applicable à la mobilité ?
Tout d'abord quel est ce principe ? Wilfredo Pareto observe que 20% de la population détient 80% des richesses en Italie. Ce principe des 80/20 est vite érigé en loi et se vérifie souvent. Joseph Juran utilise donc cette loi et l'applique aux domaines économiques. Ainsi, on constate que 20% des produits fournissent 80% du chiffre d'affaire d'une entreprise, que 20% des fonctionnalités d'un produit sont effectivement utilisées...
Dans la mobilité que ce soit sur un portail ou un annuaire de service, peut-on transposer ce principe ?
Allons sur le portail orange.fr avec un mobile. Sur la rubrique "info" sur les 10 services de cette rubrique vous allez le plus souvent consulter : l'actualité et le sport, l'horoscope ou la météo, ... Le plus souvent un coupe de sujet qui vous intéresse à un moment T. Dans notre cas nous aurons bien les 20%. Dans le portail Gallery, vous avez un top 20 et la rubrique "Nouveau". Sur ces 2 liens également vous allez cliquer sur les services qui vous conviennent mais ils ne représenteront que 20% de l'ensemble et même moins dans le cas de Gallery qui recense environs 900 services.
Que deviennent donc les 80% restant ? Doit-on les éliminer ? Ces 80% représentent ce que certains appellent la "longue traine". Le chiffre d'affaire ne se limite donc pas par la valeur générée par l'utilisation des 20% mais également du restant. Dans un catalogue complet, ce qui sera pertinent pour un consommateur c'est de trouver un objet peu usité dans la diversité proposée. Apple a bien compris cela en abaissant ses prix notamment pour son "fond de catalogue" c'est à dire les titres les plus anciens.
Au niveau des applications mobiles, nous constaterons également que 20% de leur potentialités sont exploitées. Qui va regarder dans le détail du menu d'une application ? Qui va customiser ses options ? Et pourtant, ces fonctionnalités, non perçues comme essentielles par un utilisateur, peuvent se révéler pertinentes. Elles concourent à la simplexité d'une application.
Pouvons nous inverser ce constat ? A première vue et par expérience je répondrais par la négative. Le concepteur doit-il pour autant brider son application ou son site mobile ? Je donnerais la même réponse. Pourquoi ? Parce qu'il reste 80% de ce qui a été produit. Et ce reste constitue sur le long terme un potentiel d'utilisation. Nous rentrons dans une phase où un ensemble doit être exploité. Fini la consommation de masse et la concentration des moyens vers les blockbusters. Recentrons nous sur des fondamentaux tout en n'ignorant pas le principe de Pareto :
- l'utilisateur est au centre de nos préoccupations ;
- les premiers 20% des usages participent grandement au CA d'un service donné ;
- les 80% restant doivent constituer la pérennité et la récurrence du CA.
Je vous laisse méditer et apporter vos contributions sur ce sujet qui selon moi ouvre une nouvelle dimension dans notre manière d'appréhender le WEB qu'elle soit particulière (en situation de mobilité par exemple) ou générale (dans notre utilisation quotidienne des sites).
Tout d'abord quel est ce principe ? Wilfredo Pareto observe que 20% de la population détient 80% des richesses en Italie. Ce principe des 80/20 est vite érigé en loi et se vérifie souvent. Joseph Juran utilise donc cette loi et l'applique aux domaines économiques. Ainsi, on constate que 20% des produits fournissent 80% du chiffre d'affaire d'une entreprise, que 20% des fonctionnalités d'un produit sont effectivement utilisées...
Dans la mobilité que ce soit sur un portail ou un annuaire de service, peut-on transposer ce principe ?
Allons sur le portail orange.fr avec un mobile. Sur la rubrique "info" sur les 10 services de cette rubrique vous allez le plus souvent consulter : l'actualité et le sport, l'horoscope ou la météo, ... Le plus souvent un coupe de sujet qui vous intéresse à un moment T. Dans notre cas nous aurons bien les 20%. Dans le portail Gallery, vous avez un top 20 et la rubrique "Nouveau". Sur ces 2 liens également vous allez cliquer sur les services qui vous conviennent mais ils ne représenteront que 20% de l'ensemble et même moins dans le cas de Gallery qui recense environs 900 services.
Que deviennent donc les 80% restant ? Doit-on les éliminer ? Ces 80% représentent ce que certains appellent la "longue traine". Le chiffre d'affaire ne se limite donc pas par la valeur générée par l'utilisation des 20% mais également du restant. Dans un catalogue complet, ce qui sera pertinent pour un consommateur c'est de trouver un objet peu usité dans la diversité proposée. Apple a bien compris cela en abaissant ses prix notamment pour son "fond de catalogue" c'est à dire les titres les plus anciens.
Au niveau des applications mobiles, nous constaterons également que 20% de leur potentialités sont exploitées. Qui va regarder dans le détail du menu d'une application ? Qui va customiser ses options ? Et pourtant, ces fonctionnalités, non perçues comme essentielles par un utilisateur, peuvent se révéler pertinentes. Elles concourent à la simplexité d'une application.
Pouvons nous inverser ce constat ? A première vue et par expérience je répondrais par la négative. Le concepteur doit-il pour autant brider son application ou son site mobile ? Je donnerais la même réponse. Pourquoi ? Parce qu'il reste 80% de ce qui a été produit. Et ce reste constitue sur le long terme un potentiel d'utilisation. Nous rentrons dans une phase où un ensemble doit être exploité. Fini la consommation de masse et la concentration des moyens vers les blockbusters. Recentrons nous sur des fondamentaux tout en n'ignorant pas le principe de Pareto :
- l'utilisateur est au centre de nos préoccupations ;
- les premiers 20% des usages participent grandement au CA d'un service donné ;
- les 80% restant doivent constituer la pérennité et la récurrence du CA.
Je vous laisse méditer et apporter vos contributions sur ce sujet qui selon moi ouvre une nouvelle dimension dans notre manière d'appréhender le WEB qu'elle soit particulière (en situation de mobilité par exemple) ou générale (dans notre utilisation quotidienne des sites).
mardi 13 janvier 2009
HCCB, le test
Dans un précédent billet, je vous narrais la naissance du HCCB (High Capacity Color Barcodes). Il est temps de vous parler du test et de vous montrer le résultat en vidéo.
J'ai donc été sur http://gettag.mobi et téléchargé l'application pour le Nokia N95. Sachez que l'application est sortie pour iPhone. Une fois installée, ouvrez l'appareil photo et sortez du mode de prise de vue. Lancez l'application.
La caméra est alors initialisée et prête à la recherche de code HCCB. Vous remarquerez le viseur. Il est très pratique. Une fois le code acquis par le lecteur, un décodage se fait sans aucune intervention. Dans mon cas, il s'agit de l'URL pointant vers ce blog.
le browser se lance seul, l'application de lecture de code est fermée.
J'étais friand de Code 2D, le HCCB deviendra, selon moi un standard. Il est bon de savoir aussi que la gestion des statistiques est très bien réalisée sur le site Microsoft Tag.
J'ai donc été sur http://gettag.mobi et téléchargé l'application pour le Nokia N95. Sachez que l'application est sortie pour iPhone. Une fois installée, ouvrez l'appareil photo et sortez du mode de prise de vue. Lancez l'application.
La caméra est alors initialisée et prête à la recherche de code HCCB. Vous remarquerez le viseur. Il est très pratique. Une fois le code acquis par le lecteur, un décodage se fait sans aucune intervention. Dans mon cas, il s'agit de l'URL pointant vers ce blog.
le browser se lance seul, l'application de lecture de code est fermée.
J'étais friand de Code 2D, le HCCB deviendra, selon moi un standard. Il est bon de savoir aussi que la gestion des statistiques est très bien réalisée sur le site Microsoft Tag.
lundi 12 janvier 2009
Touch Revolution
NIMble : Natural Interface Module. C'est un objet communiquant qui sera un jour sur nos bureaux, fonctionnant sous Android.
L'objet possède un écran de 7 pouces tactile. Tiens donc... Son design est sobre et très intéressant. Tiens donc... Mais bien sur son concepteur n'est autre que celui qui a dirigé le design du premier iPhone (Profile Linked in). Donc cet objet à priori communiquant vous servira à terme de station météo, recevra vos appels, affichera vos photos...
Je vous avouerai qu'il ne lui manque qu'une fonction : la détection du téléphone de son propriétaire. Ainsi en rentrant à la maison, les appels seraient renvoyés directement sur l'objet. Cette idée me plairait et me permettrait de laisser mon mobile dans les poches de mon blouson.
L'objet possède un écran de 7 pouces tactile. Tiens donc... Son design est sobre et très intéressant. Tiens donc... Mais bien sur son concepteur n'est autre que celui qui a dirigé le design du premier iPhone (Profile Linked in). Donc cet objet à priori communiquant vous servira à terme de station météo, recevra vos appels, affichera vos photos...
Je vous avouerai qu'il ne lui manque qu'une fonction : la détection du téléphone de son propriétaire. Ainsi en rentrant à la maison, les appels seraient renvoyés directement sur l'objet. Cette idée me plairait et me permettrait de laisser mon mobile dans les poches de mon blouson.
Source : AndroidGuys
A voir : Touch Revolution
Skype sur Android Market
Pour contrer l'AppStore, c'est l'Android Market qui sera le premier à proposer Skype pour le G1.
La guerre des téléphones est une chose, la suivante sera donc sur l'exclusivité des applications, du moins la place de marché qui présente en premier une application phare.
Dans cette guerre que vont se livrer Apple, Google et Microsoft, au niveau de la téléphonie, il est à craindre que des acteurs disparaissent. J'entends par là des constructueurs et par conséquent des emplois.
Toutefois, ce qui est intéressant pour les SSII sera de pouvoir développer pour leur clients des opérations fonctionnant chez les 3 éditeurs cités plus haut. Par contre la portabilité n'est pas garantie donc gare aux coûts de développement.
La guerre des téléphones est une chose, la suivante sera donc sur l'exclusivité des applications, du moins la place de marché qui présente en premier une application phare.
Dans cette guerre que vont se livrer Apple, Google et Microsoft, au niveau de la téléphonie, il est à craindre que des acteurs disparaissent. J'entends par là des constructueurs et par conséquent des emplois.
Toutefois, ce qui est intéressant pour les SSII sera de pouvoir développer pour leur clients des opérations fonctionnant chez les 3 éditeurs cités plus haut. Par contre la portabilité n'est pas garantie donc gare aux coûts de développement.
Source : AndroidGuys
HCCB
Non je n'ai pas fumé une substance psychotrope ou autre hallucinogène. Il s'agit d'une technologie développée par Microsoft relative aux codes barre.
On connait tous maintenant le Code 2D et notamment en France via Mobile Tag qui est la référence pour les services mobiles des opérateurs. Cette solution unique bien que critiquée possède l'avantage d'être reconnue par tous les opérateurs mais exclut de facto les lecteurs gratuits comme le Neo Reader et le très intéressant timbre en 2D de Nexence.
Voici donc que Microsoft arrive sur le sujet avec le High Capacity Color Barcodes (d'où le HCCB). Il s'agit de stocker plus d'information sur un code colorisé. C'est assez stupéfiant mais très intéressant car cela va radicalement changé le code 2D dans la mesure où plus d'informations seront stockée.
Ce sera donc à suivre dans les mois et années à venir. Si j'ai le temps je ferai une vidéo de mes essai sur ce site avec mon propre code ;)
On connait tous maintenant le Code 2D et notamment en France via Mobile Tag qui est la référence pour les services mobiles des opérateurs. Cette solution unique bien que critiquée possède l'avantage d'être reconnue par tous les opérateurs mais exclut de facto les lecteurs gratuits comme le Neo Reader et le très intéressant timbre en 2D de Nexence.
Voici donc que Microsoft arrive sur le sujet avec le High Capacity Color Barcodes (d'où le HCCB). Il s'agit de stocker plus d'information sur un code colorisé. C'est assez stupéfiant mais très intéressant car cela va radicalement changé le code 2D dans la mesure où plus d'informations seront stockée.
Ce sera donc à suivre dans les mois et années à venir. Si j'ai le temps je ferai une vidéo de mes essai sur ce site avec mon propre code ;)
Source : Business Garden
En savoir plus : HCCB (en anglais et chez Microsoft)
Le lecteur de code HCCB : http://gettag.mobi/
A faire : Créez un tag couleur
dimanche 11 janvier 2009
Vous n'y avez pas échappé
Petit retour sur la semaine écoulée et sur les liens sur lesquels vous auriez dû aller.
- Lentille magnétique pour iPhone
- Eee PC T91 tactile
- Comment charger votre mobile avec élégance
- Le Palm Pre
- Lentille magnétique pour iPhone
- Eee PC T91 tactile
- Comment charger votre mobile avec élégance
- Le Palm Pre
jeudi 8 janvier 2009
Eprouvez votre mobile
Pour connaitre les capacités d'un terminal rien ne vaut un bon banc de tests. Si vous êtes plus fainéant, vous allez vous rabattre sur WURFL et en plus vous n'aurez pas à posséder le téléphone. Toutefois cette solution est selon moi inefficace.
Reste donc à monter ou trouver un outil répondant à vos besoins. J'en avais fait un pour ma précédente activité professionnelle. Il a permis d'étalonner la largeur en browsing des images, les tailles des logos, le support des formats sonores... Bref, plein de petits détails qui font la différence.
Hier, un de mes anciens camarades de jeu (Ave JB !), me communique un lien. Il me dit : regarde et dis moi à quoi ça te fais penser. Ni une, ni deux, je me jette sur le lien. Surprise ! un banc de tests ! Il est réalisé par une société anglaise, mais donne de bonne idées. Pratique quand on n'en possède pas un. Je recommande toutefois aux éditeurs de la place, de réaliser le leur. C'est une plus value non négligeable pour, par la suite, tester de nouvelles idées.
Je reste étonné qu'un tel banc de test soit disponible comme ça au grand public. Mais bon, on ne va pas cracher dessus.
A voir : http://paxmodept.com/pan/index.xhtml
Reste donc à monter ou trouver un outil répondant à vos besoins. J'en avais fait un pour ma précédente activité professionnelle. Il a permis d'étalonner la largeur en browsing des images, les tailles des logos, le support des formats sonores... Bref, plein de petits détails qui font la différence.
Hier, un de mes anciens camarades de jeu (Ave JB !), me communique un lien. Il me dit : regarde et dis moi à quoi ça te fais penser. Ni une, ni deux, je me jette sur le lien. Surprise ! un banc de tests ! Il est réalisé par une société anglaise, mais donne de bonne idées. Pratique quand on n'en possède pas un. Je recommande toutefois aux éditeurs de la place, de réaliser le leur. C'est une plus value non négligeable pour, par la suite, tester de nouvelles idées.
Je reste étonné qu'un tel banc de test soit disponible comme ça au grand public. Mais bon, on ne va pas cracher dessus.
A voir : http://paxmodept.com/pan/index.xhtml
mercredi 7 janvier 2009
le G1 sur DeviceAnyWhere
Petit rappel tout d'abord. DeviceAnyWhere est un produit en Java permettant d'émuler un bon nombre de téléphones (américains) sur votre PC. Pour l'avoir eu dans les mains du temps où j'officiais chez Cellfish, l'avantage de cet outil était de pouvoir tester son site sur un téléphone US sans posséder physiquement l'appareil. Avantage non négligeable quand on connait le prix d'un téléphone. Par ailleurs, la fidélité de rendu avec le device final était selon moi assuré.
Pour les téléphones français, vous risquez d'être sacrément déçus.
Donc le G1 fait son apparition sur cet outil. Une possibilité non négligeable pour les développeurs qui en dispose afin de tester leurs sites et surement les applications car DeviceAnyWhere n'est autre qu'une virtualisation d'un téléphone branché réellement.
Source : AndroidGuys
Pour les téléphones français, vous risquez d'être sacrément déçus.
Donc le G1 fait son apparition sur cet outil. Une possibilité non négligeable pour les développeurs qui en dispose afin de tester leurs sites et surement les applications car DeviceAnyWhere n'est autre qu'une virtualisation d'un téléphone branché réellement.
Source : AndroidGuys
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