Une perte ou un changement de smartphone et c'est un peu le drame. Comment réinstaller ses applications favorites. Est ce que c'est possible sur un Windows Phone ? La réponse est affirmative avec Reinstaller.
Cette application permet,grâce à son compte lié au premier mobile de revoir la liste des applications téléchargées et de les réinstaller facilement. C'est pratique utile et surtout ça simplifie la vie d'un utilisateur.
mercredi 15 février 2012
Facebook sur WP7
J'en parle peu mais sur un Windows Phone 7, il y a tout de même pas mal d'applications. Aussi pour contenter mes lecteurs, et ceux qui découvrent ce type de mobile, Facebook est disponible même pour ce type de mobile. On ne pouvait pas en douter tout de même.
L'interface est réussie et utilise pleinement le potentiel du design imposé par Microsoft. Aussi d'un mobile à l'autre l'expérience est identique.
On retrouve la timeline, et l'ensemble des réglages pour profiter de ce réseau social en mobilité. A découvrir donc si vous ne l'avez pas encore.
L'interface est réussie et utilise pleinement le potentiel du design imposé par Microsoft. Aussi d'un mobile à l'autre l'expérience est identique.
On retrouve la timeline, et l'ensemble des réglages pour profiter de ce réseau social en mobilité. A découvrir donc si vous ne l'avez pas encore.
mardi 14 février 2012
Chrome (Beta) pour Android
Chrome débarque donc sur les mobiles Android fonctionnant sous ICS. La vidéo ci-dessous.
mercredi 8 février 2012
Un manuel pour utiliser son mobile
Qui a déjà lu le manuel de son mobile (à part quelques furieux) même celui fournit par son opérateur ? Qui n'a jamais entendu dire : ah bon ? on peut faire ça avec le téléphone ? Voici un petit manuel qui allie design, packaging et praticité.
Source : étapes
Source : étapes
jeudi 2 février 2012
A revoir bis
C'est au tour du PDG d'Orange / France Telecom de répondre aux questions des députés.
Très intéressant
Très intéressant
lundi 30 janvier 2012
A revoir
Avant l'audition du président de France Telecom par cette même commission voici les 2 vidéos intéressantes de la semaine dernière.
Je vous laisse le soin de séparer le bon grain de l'ivraie
Je vous laisse le soin de séparer le bon grain de l'ivraie
mercredi 25 janvier 2012
Dissocier 2 métiers
J'en parlais avec un collègue et c'est le cas encore aujourd'hui lors des réponses aux questions des parlementaires faites par Xavier Niel, faut-il séparer le métier d'opérateur (ADSL et mobile) et le réseau ?
J'aime à penser que celui qui est maître de son réseau et à terme de la sous-boucle locale sera incontournable sur le marché global des télécommunications en France.
Si l'on dissocie les 2 métiers, on peut voir un avantage : un contrat de service et une obligation de résultat sur le fonctionnement du réseau et de son entretien. On le voit actuellement avec EDF et ERDF, la SNCF et RFF. Le consommateur paie et repaie le réseau qu'il a financé par l'impôt et dans ses factures ou billet.
Cela a pour conséquence immédiate est que le service acheté aura en plus le coût d'achat du transit sur le réseau.
A l'inverse, lorsque l'on est maître de son réseau, un opérateur quel qu'il soit, peut abaisser ses coûts sur les communications (sur les terminaisons d'appels) et son entretien entre dans sa partie de gestion. Par ailleurs, cela permet de faire transiter des services plus facilement sans demander d'ajout ou d'extension du contrat initial sur le réseau. Enfin, un réseau tout IP qui est le nerf de la guerre en cours chez tous les opérateurs, permet d'enrichir les services et donc de les commercialiser.
Je ne doute pas du bien fondé de chaque modèle économique toutefois, en écoutant le PDG d'Illiad et celui de France Telecom, tous les 2 rappellent que c'est un métier de réseaux. Même si ce dernier a un coût, le réseau en lui même est un centre de profit et de stricte nécessité pour un opérateur télécom. De facto il doit en être le propriétaire pour maîtriser la chaine complète de distribution de ses services du fixe au mobile car la convergence passe aussi par ces 2 canaux.
J'aime à penser que celui qui est maître de son réseau et à terme de la sous-boucle locale sera incontournable sur le marché global des télécommunications en France.
Si l'on dissocie les 2 métiers, on peut voir un avantage : un contrat de service et une obligation de résultat sur le fonctionnement du réseau et de son entretien. On le voit actuellement avec EDF et ERDF, la SNCF et RFF. Le consommateur paie et repaie le réseau qu'il a financé par l'impôt et dans ses factures ou billet.
Cela a pour conséquence immédiate est que le service acheté aura en plus le coût d'achat du transit sur le réseau.
A l'inverse, lorsque l'on est maître de son réseau, un opérateur quel qu'il soit, peut abaisser ses coûts sur les communications (sur les terminaisons d'appels) et son entretien entre dans sa partie de gestion. Par ailleurs, cela permet de faire transiter des services plus facilement sans demander d'ajout ou d'extension du contrat initial sur le réseau. Enfin, un réseau tout IP qui est le nerf de la guerre en cours chez tous les opérateurs, permet d'enrichir les services et donc de les commercialiser.
Je ne doute pas du bien fondé de chaque modèle économique toutefois, en écoutant le PDG d'Illiad et celui de France Telecom, tous les 2 rappellent que c'est un métier de réseaux. Même si ce dernier a un coût, le réseau en lui même est un centre de profit et de stricte nécessité pour un opérateur télécom. De facto il doit en être le propriétaire pour maîtriser la chaine complète de distribution de ses services du fixe au mobile car la convergence passe aussi par ces 2 canaux.
mardi 24 janvier 2012
Petite mise à jour Xperia Neo
Une petite mise à jour 4.0.2.A.0.62 est apparue sur mon Xperia Neo. Elle sera mineure car la prochaine impliquant une grosse sauvegarde sera le passage à Ice Cream Sandwich.
Dans ce cas, et compte tenu de la grosse mise à jour faite par SE cet hiver, je pense que toute la gamme Xperia 2011 a été touchée.
Cette mise à jour est donc faisable en WiFi ou en connexion avec votre PC.
Dans ce cas, et compte tenu de la grosse mise à jour faite par SE cet hiver, je pense que toute la gamme Xperia 2011 a été touchée.
Cette mise à jour est donc faisable en WiFi ou en connexion avec votre PC.
66 mobiles sous Ice Cream Sandwich
Le forum XDA Developers annonce au 22 janvier 2012 que 66 mobiles supportent ICS. On y trouve des modèles plus ou mois récents et les développements sont souvent en version Alpha.
Pour mémoire, l'OS de Google n'a pas été fait pour les processeurs de nos mobiles. Il faut réviser le coeur du système puis contrôler un par un chaque périphérique (caméra, WiFi, Bluetooth...) pour une intégration optimale. C'est ce que disait déjà Sony Ericsson pour ce passage vers ICS de la gamme 2011.
Cela dit, si vous vous sentez l'âme d'un aventurier pour un changement de ROM, suivez pas à pas les instructions et découvrez ce nouvel OS.
La manoeuvre est enrichissante à plusieurs niveaux : pour ceux qui veulent améliorer leur anglais c'est un pas obligé ;), comprendre son téléphone de manière plus précise, sortir de la customisation de son opérateur ou du constructeur.
Attention, cette manipulation supprime les garanties (opérateur et constructeur) car vous changez l'OS installé.
mercredi 18 janvier 2012
Recentrer son offre
Ce qu'à introduit Free Mobile dans le paysage de la mobilité part d'un constat simple : vous avez un mobile pour téléphoner. Cette phrase je l'ai répétée souvent sur mon blog. Au final, l'ensemble des acteurs du mobile (historiques et MVNO) reviennent à ce crédo.
L'analyse est simple au premier coup d'oeil : les forfaits actuels étaient bardés d'options. On ajoute à cela les coûts marketing, la subvention, le SAV, ... bref une chaine de valeur complète et les tarifs explosent.
Xavier Niel a donc pris le sens inverse. L'offre est claire, le mobile est séparé du prix de l'abonnement et le reste c'est des options (exemple l'option BlackBerry à 1€ du fait que RIM fasse payer ses serveurs).
D'un point de vue consommateur, on pourrait s'y retrouver. En effet, on distingue 3 parties dans l'abonnement complet : la voix, le messaging (SMS + MMS) et la data. Le prix en lui même est attractif. Concernant les mobiles, on ne sait pas s'ils seront nus mais en tout cas pas de simlock (revoir la vidéo de présentation). Cependant les tarifs des mobiles et les plus exigeants l'ont de suite remarqué, un Samsung Galaxy S2 est plus cher que sur d'autres sites. 541€ chez Free Mobile, 478€ chez PhoneandPhone. Le paiement sur 36 mois n'est donc pas gratuit.
D'un point de vue opérateur historique, la réflexion va se porter sur la monétisation de ses options. La vraie monétisation. En effet, les services de TV, de messagerie vocale visuelle... et j'en passe ne doivent plus être fondus dans un forfait. L'avantage de la solution est de réellement dégager en terme de chiffre d'affaire ce qui fonctionne ou pas et donc d'utiliser ses ressources sur des produits effectivement rentables. Par ailleurs, c'est aussi pousser les équipes à travailler ensemble sur un sujet unique. Revers de la médaille, des projets entiers vont être abandonnés. Enfin, tailler dans les budgets publicitaires et marketing. Cela n'est pas forcément plaisant mais rien que le premier de ces budgets permettrait un investissement sur des services à réelle plus-value en rapport avec le métier de l'opérateur.
Aussi la révolution est là et simple. Supprimer ce qui n'est pas forcément utile pour M. et Mme Michu. Après on pourra toujours expliquer le coût par la subvention du mobile, la qualité de service et le SAV. Oui dans ce cas, le prix d'un abonnement supérieur de quelques euros est justifié pleinement.
Enfin et ne nous plaignons pas trop car aux US, le desimlocage est un tabou chez les opérateurs, le prix des communications tout autant. Quant à la data, n'en parlons pas. Bref, une concurrence centrée sur l'essentiel est une bonne chose en soi et mérite un décryptage plus affiné à terme. Toutefois sur un usage domestique et à l'intérieur de nos frontières.
Reste à savoir si en période de crise les opérateurs vont investir dans la recherche pour être présents à la reprise ou attentistes en attendant des jours meilleurs. Je vous dirai qu'il faudrait prendre la première solution mais ce n'est pas dans notre mentalité.
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